Hollande inaugure un pont, la solidarité
internationaliste s'invite aux festivités
internationaliste s'invite aux festivités
Quand
la République Française, par son président François Hollande, rend
hommage au progrès technique en inaugurant le nouveau pont de Bordeaux
baptisé d’un nom de « résistant » : « J. Chaban Delmas »… Des camarades militant-e-s sont là pour lui rappeler qu’elle oublie de libérer (à défaut d’honorer) un autre résistant…
Manifeste en faveur de Georges Ibrahim Abdallah
Georges Ibrahim Abdallah : amplifier la mobilisation
La décision sera donnée le 21 mars, peut-être au lendemain de l’arrêt de la cour de cassation qui doit de son côté juger le pourvoi du parquet devant cette autre juridiction. Quatre mois se sont déjà écoulés en multiples manœuvres judiciaires, qui masquent à peine une volonté politique d’obstruction.
En effet, le gouvernement français, par l’intermédiaire de son ministre de l’Intérieur et de sa ministre de la Justice, persiste à ne pas libérer notre camarade. Il se montre en cela plus docile à obéir aux injonctions étatsuniennes et israéliennes qu’à exécuter des décisions d’une justice prétendument indépendante.
Prendre l'initiative pour sa libération
Que les initiatives se développent sans compter partout en France, que partout dans le monde, en Europe, au Liban, au Moyen-Orient et jusqu’en Amérique du Sud, l’État français soit la cible de toutes celles et tous ceux pour qui aujourd’hui le seul mot d’ordre est : « Libération immédiate de Georges Ibrahim Abdallah ! »
Le Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah
liberonsgeorges@no-log.org
http://liberonsgeorges.over-blog.com
La chambre d'application des peines a examiné à huis clos, jeudi
28 février, le énième appel du parquet contre le report de la
décision finale du tribunal d'application des peines concernant la
demande de libération de Georges Ibrahim Abdallah, dans l'attente d'un
hypothétique arrêté d'expulsion signé par le ministère de
l'Intérieur.
La décision sera donnée le 21 mars, peut-être au lendemain de l’arrêt de la cour de cassation qui doit de son côté juger le pourvoi du parquet devant cette autre juridiction. Quatre mois se sont déjà écoulés en multiples manœuvres judiciaires, qui masquent à peine une volonté politique d’obstruction.
En effet, le gouvernement français, par l’intermédiaire de son ministre de l’Intérieur et de sa ministre de la Justice, persiste à ne pas libérer notre camarade. Il se montre en cela plus docile à obéir aux injonctions étatsuniennes et israéliennes qu’à exécuter des décisions d’une justice prétendument indépendante.
Prendre l'initiative pour sa libération
Comme
l’a montré le succès de la mobilisation internationale du 27 février
avec ses dizaines de manifestations, ce n’est pas en attendant
passivement que les juges aux ordres du pouvoir consentent à rendre
enfin une décision de libération devenue purement administrative que
nous verrons Georges Ibrahim Abdallah rejoindre son pays. Et ce ne sont
pas les différentes tentatives d'intimidation contre des membres de
notre collectif qui nous en dissuaderont. Après 29 ans d’enfermement,
après 29 ans de résistance à l’anéantissement, libérable depuis 1999,
notre camarade communiste, internationaliste, sortira de prison la tête
haute, sans rien renier de ses convictions révolutionnaires parce que
nous aurons su hisser la campagne politique de solidarité au niveau
exigé par son combat.
Que les initiatives se développent sans compter partout en France, que partout dans le monde, en Europe, au Liban, au Moyen-Orient et jusqu’en Amérique du Sud, l’État français soit la cible de toutes celles et tous ceux pour qui aujourd’hui le seul mot d’ordre est : « Libération immédiate de Georges Ibrahim Abdallah ! »
Le Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah
liberonsgeorges@no-log.org
http://liberonsgeorges.over-blog.com
Illustrations :
Des photos militantes