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Pourquoi faudrait-il que la crise du capitalisme soit la crise de ses opposants déclarés ?


 Et si, à la gauche du PS, on arrêtait de jouer à qui perd gagne ?

 
Par Alain Krivine


 […] Dans toute cette confusion, il y a d’abord des jeux d’appareil et des bagarres pour les postes, dont les petites formations se trouvent de fait exclues : ainsi, Piquet, même élu conseiller régional de Midi-Pyrénées en 2010 grâce au PCF, ne pèse rien avec ses quelques dizaines de militantEs.

Il y a ensuite un débat politique, plus ou moins caché, mais sur des questions de fond essentielles : quel rapport avec les institutions ? Avec le mouvement social ? Avec l’internationalisme ? Par exemple, sur cette dernière question, il y a vraiment de quoi débattre, surtout quand on voit la tête de liste de l’Est, Gabriel Amard (PG), titrer un tract en vue d’une réunion publique à Besançon : « Non à l’Europe allemande » !

Avec le Front de gauche, le PCF avait réussi provisoirement à stopper son hémorragie électorale et militante, Mélenchon à se refaire une virginité après avoir quitté le PS, et des petits groupes, pour la plupart issus de la LCR ou du NPA, à faire semblant de jouer dans la cour des grands. Mais dans cette situation de crise exceptionnelle, l’heure des choix a sonné.



L'humour de l'alternative au PS (qui est allié au Medef) en unité avec le PS (pour lutter contre le Medef) !

 



REPORTAGE

En meeting commun dans le XXe arrondissement, Anne Hidalgo et Pierre Laurent se sont félicités de l’alliance entre leurs deux partis. Au grand déplaisir du Parti de gauche. 

 

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