Quelques rendez-vous :
Pour informer d'un évènement, écrire à npanticapitaliste34@proton.me
Jeudi 16 octobre Montpellier 19h
Projection du documentaire "Nucléaire, comment il va ruiner la France" suivi d'un repas partagé avec le collectif Arrêt du Nucléaire 34.
Ce documentaire, réalisé par la journaliste pour Reporterre Laure Noualhat et la documentariste Clarisse Feletin explique comment la politique nucléaire va endetter la France. Entre l'absence de règles économiques, le vieillissement des réacteurs, l'enfouissement des déchets et la construction de nouvelles centrales, les dépenses deviennent hors de contrôle.
Commémoration du massacre des algériens du 17 octobre 1961
le 17 octobre 2025 au pont Zuccarelli à Montpellier. De 18h à 20h.

La
guerre d'indépendance de l'Algérie approchait de sa victoire quand le
17 octobre 1961 un massacre a été perpétué par la police française à
l'encontre de milliers d'Algériens et d'Algériennes qui manifestaient
pacifiquement à Paris contre le couvre feu qui leur avait été imposé.
Ce
crime d'Etat n'est toujours pas reconnu par l'Etat français aussi nous
vous demandons de venir honorer la mémoire de ces morts et d'exiger
cette reconnaissance du crime d'Etat par l'Etat français.
Une commémoration se tiendra le 17 octobre 2025 au pont Zuccarelli à Montpellier.
Depuis plus d’un siècle, les Kurdes font face aux politiques
assimilationnistes brutales de la Turquie, de l’Irak, de l’Iran et de la
Syrie, comme aux intrigues des puissances impérialistes au
Moyen-Orient.
C’est en raison de leur situation singulière de «
colonie internationale », à l’intersection de quatre États aux agendas
divergents et en proie à des alliances défavorables, qu’ils manquent le
tournant des décolonisations dans les années 1960. L’évolution vers les
thèses marxistes puis la lutte armée dans les années 1970-1980 a permis
l’émergence d’un mouvement kurde transfrontalier qui a payé ses succès
au prix fort d’une répression meurtrière.
Ce long cheminement a
surtout abouti à remettre en cause le modèle « État-nation-frontières »
pour défendre l’« autonomie » du plus grand peuple apatride au monde.
Telle est la voie du « confédéralisme démocratique » tracée par le PKK
(Parti des travailleurs du Kurdistan) et expérimentée au Rojava depuis
plus d’une décennie.
Alors qu’elle peine à trouver en France un juste écho, ce livre
montre combien la lutte des Kurdes pour la préservation de leur langue,
de leur culture et de leurs droits offre un exemple de résilience
révolutionnaire et un horizon de paix décoloniale.