PRISONNIERS RIEN N'EST RÉGLÉ !!
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28 prisonniers palestiniens sont en grève de la faim illimitée
vendredi 29 juin 2012 - 06h:59
Ma’an News
Les 25 détenus du centre de détention Etzion près de Bethléem ont commencé à refuser de manger il y a plus de deux semaines, a déclaré Jaclyn Fararjeh, une avocate pour l’organisation de défense des droits des prisonniers.
Les prisonniers disent que la prison d’Etzion
est bondée et pour cette raison, les sorties ont été réduites d’une
heure à seulement 30 minutes. En outre, il n’y a pas assez de nourriture
pour tous les prisonniers.
Certains des prisonniers ont accusé le service pénitentiaire israélien de les placer en isolement sans justification et de les passer à tabac.
Avant les 25 prisonniers d’Etzion, il y avait déjà trois autres prisonniers palestiniens en grève de la faim.
Addameer, le groupe de défense des droits des prisonniers, a déclaré jeudi que l’un d’eux, Akram al-Rekhawi->i], fait face à « une menace imminente pour sa vie », tandis que des médecins indépendants se sont vu refuser la possibilité de le voir.
Al-Rekhaw, un prisonnier diabétique qui est en grève de la faim depuis plus de deux mois, a été brièvement hospitalisé à plusieurs reprises et a été renvoyé à la clinique de la prison de Ramleh où il ne consomme que de l’eau, a déclaré son avocat mardi.
Un autre détenu, Samer Al-Barq, est entré dans son 38e jour de grève de la faim et sa santé se détériore rapidement, a déclaré Mona Neddaf, une avocate pour le groupe Addameer, qui lui a rendu visite à Ramle.
« En raison de la longueur de sa grève de la faim depuis le mois d’avril, avec une seule semaine où il s’est alimenté, l’état de santé de Samer s’aggrave à présent fortement, » a indiqué le groupe dans un communiqué.
« Il a un rythme cardiaque très faible et les médecins de la prison ont mis en garde contre les conséquences possibles de la grève de la faim sur son cerveau. Il ne consomme actuellement que de l’eau avec du glucose. »
Le détenu administratif Hassan Safadi est dans son 8e jour d’une seconde grève de la faim, après que sa détention ait été renouvelée cette semaine, malgré un engagement pris par Israël qu’il serait libéré à l’expiration de la période actuelle, a dit Addameer.
Pendant ce temps le groupe de défense des prisonniers a fait savoir que la santé du joueur de football palestinien Mahmoud al-Sarsak, qui a mis fin plus tôt ce mois-ci à une grève de la faim de plus de 90 jours, allait en s’améliorant.
Il pèse maintenant 58 kilos et il a été transféré régulièrement pour des contrôles médicaux à l’hôpital Assaf Harofeh, a déclaré Addameer. Cependant, il est toujours détenu à la clinique de la prison de Ramle.
« Bien qu’il ait encore un long chemin à parcourir pour se remettre et qu’il souffre d’étourdissement quand il se réveille chaque matin, son état de santé s’améliore », a indiqué le groupe.
Certains des prisonniers ont accusé le service pénitentiaire israélien de les placer en isolement sans justification et de les passer à tabac.
Avant les 25 prisonniers d’Etzion, il y avait déjà trois autres prisonniers palestiniens en grève de la faim.
Addameer, le groupe de défense des droits des prisonniers, a déclaré jeudi que l’un d’eux, Akram al-Rekhawi->i], fait face à « une menace imminente pour sa vie », tandis que des médecins indépendants se sont vu refuser la possibilité de le voir.
Al-Rekhaw, un prisonnier diabétique qui est en grève de la faim depuis plus de deux mois, a été brièvement hospitalisé à plusieurs reprises et a été renvoyé à la clinique de la prison de Ramleh où il ne consomme que de l’eau, a déclaré son avocat mardi.
Un autre détenu, Samer Al-Barq, est entré dans son 38e jour de grève de la faim et sa santé se détériore rapidement, a déclaré Mona Neddaf, une avocate pour le groupe Addameer, qui lui a rendu visite à Ramle.
« En raison de la longueur de sa grève de la faim depuis le mois d’avril, avec une seule semaine où il s’est alimenté, l’état de santé de Samer s’aggrave à présent fortement, » a indiqué le groupe dans un communiqué.
« Il a un rythme cardiaque très faible et les médecins de la prison ont mis en garde contre les conséquences possibles de la grève de la faim sur son cerveau. Il ne consomme actuellement que de l’eau avec du glucose. »
Le détenu administratif Hassan Safadi est dans son 8e jour d’une seconde grève de la faim, après que sa détention ait été renouvelée cette semaine, malgré un engagement pris par Israël qu’il serait libéré à l’expiration de la période actuelle, a dit Addameer.
Pendant ce temps le groupe de défense des prisonniers a fait savoir que la santé du joueur de football palestinien Mahmoud al-Sarsak, qui a mis fin plus tôt ce mois-ci à une grève de la faim de plus de 90 jours, allait en s’améliorant.
Il pèse maintenant 58 kilos et il a été transféré régulièrement pour des contrôles médicaux à l’hôpital Assaf Harofeh, a déclaré Addameer. Cependant, il est toujours détenu à la clinique de la prison de Ramle.
« Bien qu’il ait encore un long chemin à parcourir pour se remettre et qu’il souffre d’étourdissement quand il se réveille chaque matin, son état de santé s’améliore », a indiqué le groupe.
28 juin 2012 - Ma’an News - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.maannews.net/eng/
http://www.maannews.net/eng/
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Carton Rouge pour l’Apartheid Israélien : signez la pétition
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La société civile palestinienne salue Alice Walker
Alice Walker a autrefois écrit :
« La façon la plus courante dont le peuple abandonne son pouvoir c’est en croyant qu’il n’en a pas »...
Aujourd’hui... les peuples se réapproprient leur pouvoir.
Lire l'article : http://www.protection-
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un module Palestine de 3 demi-journées :
co-organisé par CCIPPP, CIMADE, Conf. Paysanne, Terre et Humanisme et UJFP
1- L'apartheid comme négation de l'humanité
2- Le BDS comme stratégie de lutte pour les droits fondamentaux
3 - Les droits fondamentaux comme condition de l'humanité
Le dossier sera disponible sur les stands CCIPPP (5€)
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« La Deuxième Intifada » - Ramzy Baroud répond à nos questions
lundi 4 juin 2012 - 16h:58Info-Palestine
La Deuxième Intifada fut l’expression de cette capacité de la
société palestinienne à se mobiliser dans les plus difficiles des
circonstances et de soutenir cette mobilisation pendant des années en
dépit des coûts terribles imposés par la violence israélienne, explique
Ramzy Baroud.
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