À la Une...

Karak a mangé de la viande enragée, merci Findus, tchao le Pape !



Bouffer du curé, bouffer du "boeuf", sans risquer l'indigestion...


 
 Brève fable de la soupape ecclésiale qui lâche...






 
 
 

 Un peu décalé mais est-ce si sûr ?


 Brève fable
de la soupape ecclésiale qui lâche

 Un Pape dans le vent...

 


 ...se découvrit appelé, dans un irrésistible élan transgressif des tables dogmatiques, à prendre une décision ébouriffante...



 ... Entre burqa et hijab son coeur longtemps balança...

 
 
 


 Son entourage en fut tourneboulé...

 
  

Mais la messe était dite... 




...Son royaume n'était plus de ce monde ...

 

 ...Il lui fallait porter au plus haut des cieux...

 
... la revendication ultime... 


L'Eglise - et cum spiritu tuo - retrouvera-t-elle ses esprits ? ...


Antoine (comité NPA du Pic-Saint-Loup)

Et aussi

Communiqué du NPA

Quelle que soit la viande c’est le capitalisme qui est vraiment indigeste


Le scandale autour de la viande dans les plats cuisinés ne se situe pas essentiellement autour du débat viande de cheval - viande de bœuf. Il révèle les conditions de fabrication des plats et plus généralement de la production agricole dans un système économique qui ne garantit que le profit. On assiste à une cascade de sous-traitants répartis sur toute l’Europe, pour assurer le profit maximum en jouant sur les écarts de prix, pour échapper aux réglementations, ce qui permet à tous de se défausser et à personne d’être responsable.

Le NPA dénonce cette logique de rentabilité qui touche tout le monde, et ce jusque dans nos assiettes. Il est temps que la production agricole soit rendue aux paysans qui doivent pouvoir vivre de leur travail, avec des circuits courts, supprimant les intermédiaires qui s’engraissent sur le dos des producteurs et des consommateurs tout en polluant la planète par des échanges qui n’ont pas lieu d’être. Il est aussi plus que temps que les consommateurs exercent le contrôle sur la nourriture produite, par le renforcement du rôle des associations, alors que l’on voit que tout est fait pour les tromper.

Cette logique mène non seulement à la malbouffe mais à la baisse des revenus des petits producteurs, au réchauffement climatique et aux escroqueries dont l’affaire Spanghero n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Montreuil, le 15 février 2013

Le communiqué sur le site national du NPA 

Quant aux salariés de Spanghero légitimement choqués et inquiets, un rapport de force avec l'appui de la population doit imposer à l'entreprise le maintien du salaire et de l'emploi : les travailleurs "n'y sont pour rien", ils n'ont pas à faire les frais de la fourberie capitaliste et de sa spéculation sur les risques sanitaires imposés aux population ! Le retrait de la viande suspecte s'impose, pas le retrait de l'emploi ni la diminution des salaires des Spanghero !

 Pour élargir la question

 




Impossible d'oublier cependant l'envers de la médaille de la surconsommation 


Urgence de relocaliser, réhumaniser l’agriculture, repenser nos modes de production et de consommation, tisser la solidarité internationale avec les peuples (annuler la dette contractée avec la France).

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