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Mali. Retour sur une guerre pour consolider les liens de dépendance françafricaine, en version néolibérale

  
Une intervention néocoloniale sous leadership français

Analyse de l'intervention militaire française au Mali : rébellion des Touaregs, les narco-salafistes, les investissements militaires français et étatsuniens, les rivalités inter-impérialistes, les intérêts capitalistes français.

  • Rébellion des Touaregs
  • Changer la donne de la « coopération » militaire avec le Mali 
  • Cafouillage états-unien
  • France : retour sur investissement militaire
  • Leadership français d’une armée européenne ?
  • Intérêts français… menacés au Mali
  • Concurrence chinoise
  • Futur État pétrolier et gazier
  • Recomposition de l’ordre impérialiste  
     
par Jean Nanga, correspondant de la revue Inprecor en Afrique.


 Le 11 janvier 2013, le président français François Hollande a annoncé, à la population française et au monde, l’intervention de l’armée française dans la guerre au Mali, qui n’opposait jusqu’alors que l’armée malienne, les indépendantistes touaregs du Mouvement national de libération de l’Azawad — nom donné à toute la partie septentrionale du Mali — (mnla), et les différents groupes jihadistes engagés, semble-t-il, à l’instauration d’un califat ouest-africain : les Touaregs maliens d’Ansar Dine, les internationaux du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (mujao) ainsi que les « narco-salafistes » d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (aqmi). Cette entrée en guerre de la France dans l’une de ses anciennes colonies, est présentée comme une réponse à un appel à l’aide du chef du gouvernement intérimaire du Mali, le président Dioncounda Traoré. Ce dernier doit son poste à un accord entre les militaires, dirigés par le capitaine Sanogo, ayant renversé le gouvernement légal d’Amadou Toumani Touré en mars 2012 (un mois avant les élections présidentielles auxquelles ce dernier n’allait pas se présenter), et une partie de la « classe politique » malienne, sous le patronage de la Communauté économique et douanière des États d’Afrique de l’Ouest (cedeao). Dioncounda Traoré, se sentait menacé par le mouvement des jihadistes vers la capitale malienne, Bamako.

Vaine stratégie française au Mali


Dossier d'information sur l'intervention française au Mali, par Survie

Nous, opposants à la guerre française


Par OLIVIER BESANCENOT Membre de la direction du NPA, CHRISTINE POUPIN Membre de la direction du NPA, PHILIPPE POUTOU Membre de la direction du NPA

La position du NPA, des députés et sénateurs du Front de Gauche, du PG, de EELV, de AL et de LO
Sur l’intervention de la France au Mali 

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