Nous reproduisons ci-dessous, avec l’accord de son auteur, un article paru sur le site de Montpellier Journal :
un cas exemplaire d’arbitraire préfectoral. Sans doute le journaliste
interdit de conférence de presse, dont il en est question ici, n’est-il
pas titulaire de la carte de presse. Mais celle-ci est avant tout un
coupe file qui n’offre aucune garantie sur la qualité professionnelle de
celui qui la détient (sinon qu’un média a jugé bon de l’employer…) et
qui ne l’assure pas de pouvoir en faire usage en toutes circonstances :
encore faut-il qu’il soit accrédité et que, pour cela, trop souvent, il
sache faire le dos rond. Nul doute que les professionnels de la
profession, de Montpellier et d’ailleurs, vont s’insurger contre la
censure inacceptable qui frappe leur collègue sans carte. (Acrimed)
Un
article ne plaît pas au préfet ? Il interdit de conférences de presse.
La première raison avancée par l’entourage de Pierre de Bousquet de
Florian est que je n’ai pas la carte de presse. Mais très vite, la
deuxième raison pointe le bout de son nez : un article a laissé « un petit peu interrogatif », nous dit-on au cabinet du préfet – dirigé par Frédéric Loiseau.L'article complet sur le site d'Acrimed
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