Et si on sortait le carton rouge avec Thomas Balenghien, le candidat du NPA ?
Dernière minute (11/02) : Montpellier : les relations orageuses de Mohed Altrad
Montpellier / Rugby : la lettre assassine d' Altrad à Jean-Pierre Moure, président de l'agglo
Extrait
C'est Montpellier journal qui a dévoilé le pot aux roses
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16/02 : Montpellier/Rugby : Altrad s'explique sur la lettre à Jean-Pierre Moure
16/02 : Montpellier/Rugby : Altrad s'explique sur la lettre à Jean-Pierre Moure
A notre avis
Mohed Altrad, avec la suffisance du grand patron, vient faire la leçon "capitaliste" au président d'une Agglo qui ne le gratifierait pas en subventions à la hauteur de ses espérances d'investisseur en sport. Car la première chose qui frappe dans ce grand déballage et le chantage à la mise en faillite du club de rugby de la ville, c'est que la finance, et non le sport, est le maître mot, la préoccupation exclusive de l'homme. Comme le montre Montpellier journal, c'est un match à éliminatoires qui s'offre à nous sur ce terrain du fric : cherchez les noms de Trinh Duc ou Ouédraogo qui font le rugby sur le gazon entre les perches et les lignes blanches, vous ne trouverez que Altrad contre Salerno, l'homme le plus riche de la région (voir article en fin de page) contre celui qui tient nombre de commerces (brasseries et Halles Castellane) de la ville. Un homme, celui-ci, qui possède l'énorme atout, au grand dam de son rival, de s'être fait sous Frêche, grâce à Frêche, et donc d'être en connexion avec les bébés Frêche d'hier, aujourd'hui en place dans une majorité large des rouages institutionnels de la Région. Et d'abord, avec Jean-Pierre Moure, le président de l'Agglo, par ailleurs, ce qui n'est peut-être pas pour rien dans la manoeuvre polémique d'Altrad, le candidat socialiste à la mairie !
Oui, dans son dézingage tous azimuts, l'histrionique président du MHRC, met en lumière l'interpénétration sur la ville, dans ses recoins les plus obscurs, de la politique et de l'argent, des politiques et des "entrepreneurs". Ils se tiennent tous par la barbichette mais, à l'arrivée, il arrive que l'un de ceux-ci craque, non par illumination morale, mais parce qu'il veut plus de flouze ! Pour l'entreprise rugby qu'il dirige et dont il veut assurer une meilleure rentabilité. Sinon, c'est, comme fait un vulgaire Mittal, la clé sous la porte et tout le monde dégage ! Quant aux supporters du club, ils iront se faire voir ailleurs. L'esprit d'entreprise c'est pas le, au demeurant bien fumeux, esprit sportif. En attendant ça balance : par exemple sur les 150 000€ que l'agglo aurait refilés au Salerno pour un bien louche dédommagement concernant la brasserie... du stade de rugby. Et bien d'autres choses compromettantes qui, en pleine campagne électorale, pourraient faire mal au candidat socialiste. Pourraient, au conditionnel du chantage : file le fric sinon...
Bref, quoi qu'il en soit des faits avancés par Altrad, qu'on on n'a pas a priori à croire sur parole, tellement sa morale est indexée sur son compte bancaire, on comprend néanmoins qu'il y a quelque chose d'intolérable à voir que des hommes politiques, par ailleurs se revendiquant de la gauche (la fable en a pris un coup mais il en reste qui y croient), puissent être en proximité "d'affaires" avec un Altrad ou un Salerno et organiser des déplacements d'argent public vers ces caricatures capitalistes !
Au NPA 34 nous voyons bien qu'il y a un engouement dans une partie de la population pour ce sport professionnel dont il est à nouveau prouvé pourtant qu'il vit de pomper des financements qui font défaut pour remédier à la pauvreté élevée qui gangrène la grande ville sportive qu'est Montpellier. Notre candidat à la prochaine élection municipale, Thomas Balenghien, le dira et redira, la politique que nous défendons rompt avec les cajoleries que Moure, Mandroux, Bourquin, Vézinhet et d'autres prodiguent aux clubs d'élite comme ceux de Montpellier. Nous proposons finalement de prendre Altrad à son propre jeu (mot, on l'a compris, bien impropre) : puisque son club est une entreprise, elle tombe sous le coup de notre détermination à refuser toute subvention aux entreprises. Ce n'est pas la vocation d'une collectivité de recourir à celles-ci même si, contrerévolution libérale et soumission de la gauche à ses lois obligent, il est devenu commun qu'il en soit ainsi. Pour un effet nul sur l'emploi et les salaires. Comme Marx voulait remettre la philosophie sur ses pieds, nous voulons remettre sur pied les budgets et développer les logiques publiques, fondées en choix politiques, de financement prioritaire des besoins sociaux comme la santé ou l'éducation !
Par son attitude vis-à-vis d'un Moure pourtant bien complaisant, en espèces sonnantes et trébuchantes, envers les clubs, Altrad nous délivre le message que ces capitalistes cherchent à tenir les politiques en les enfermant dans le "toujours plus de soutien financier" sinon gare..., sinon je flingue le club, etc. Sans avoir à rendre compte de l'argent déjà versé par la collectivité !
Le NPA ne pratique pas ce sport politico-financier, nous le dénonçons; nous défendons en revanche le sport associatif et scolaire. Nous appelons donc à rejeter Altrad et Moure (et Salerno)... Ces gens-là, ce n'est pas notre camp. Ce n'est pas le peuple. Qu'ils dégagent tous, comme aime à dire Mélenchon ! Dommage que le Front de Gauche montpelliérain ne le suive pas sur ce... terrain puisqu'il garde une porte (de vestiaire) ouverte pour le cas où Moure, le souffle un peu court au soir du premier tour, daignerait venir y faire une ouverture pour le sprint final. Muriel Ressiguier et ses équipiers ont en effet égaré le carton rouge. Qu'ils le sachent, Thomas le tient à leur disposition... à notre tout nouveau local. Car on peut toujours sur cette base, faire équipe ... au lieu de risquer le hors jeu politique que signifierait d'intégrer la dream team Moure-Altrad-Salerno où les frères ennemis sont avant tout frères...
Oui, dans son dézingage tous azimuts, l'histrionique président du MHRC, met en lumière l'interpénétration sur la ville, dans ses recoins les plus obscurs, de la politique et de l'argent, des politiques et des "entrepreneurs". Ils se tiennent tous par la barbichette mais, à l'arrivée, il arrive que l'un de ceux-ci craque, non par illumination morale, mais parce qu'il veut plus de flouze ! Pour l'entreprise rugby qu'il dirige et dont il veut assurer une meilleure rentabilité. Sinon, c'est, comme fait un vulgaire Mittal, la clé sous la porte et tout le monde dégage ! Quant aux supporters du club, ils iront se faire voir ailleurs. L'esprit d'entreprise c'est pas le, au demeurant bien fumeux, esprit sportif. En attendant ça balance : par exemple sur les 150 000€ que l'agglo aurait refilés au Salerno pour un bien louche dédommagement concernant la brasserie... du stade de rugby. Et bien d'autres choses compromettantes qui, en pleine campagne électorale, pourraient faire mal au candidat socialiste. Pourraient, au conditionnel du chantage : file le fric sinon...
Bref, quoi qu'il en soit des faits avancés par Altrad, qu'on on n'a pas a priori à croire sur parole, tellement sa morale est indexée sur son compte bancaire, on comprend néanmoins qu'il y a quelque chose d'intolérable à voir que des hommes politiques, par ailleurs se revendiquant de la gauche (la fable en a pris un coup mais il en reste qui y croient), puissent être en proximité "d'affaires" avec un Altrad ou un Salerno et organiser des déplacements d'argent public vers ces caricatures capitalistes !
Au NPA 34 nous voyons bien qu'il y a un engouement dans une partie de la population pour ce sport professionnel dont il est à nouveau prouvé pourtant qu'il vit de pomper des financements qui font défaut pour remédier à la pauvreté élevée qui gangrène la grande ville sportive qu'est Montpellier. Notre candidat à la prochaine élection municipale, Thomas Balenghien, le dira et redira, la politique que nous défendons rompt avec les cajoleries que Moure, Mandroux, Bourquin, Vézinhet et d'autres prodiguent aux clubs d'élite comme ceux de Montpellier. Nous proposons finalement de prendre Altrad à son propre jeu (mot, on l'a compris, bien impropre) : puisque son club est une entreprise, elle tombe sous le coup de notre détermination à refuser toute subvention aux entreprises. Ce n'est pas la vocation d'une collectivité de recourir à celles-ci même si, contrerévolution libérale et soumission de la gauche à ses lois obligent, il est devenu commun qu'il en soit ainsi. Pour un effet nul sur l'emploi et les salaires. Comme Marx voulait remettre la philosophie sur ses pieds, nous voulons remettre sur pied les budgets et développer les logiques publiques, fondées en choix politiques, de financement prioritaire des besoins sociaux comme la santé ou l'éducation !
Par son attitude vis-à-vis d'un Moure pourtant bien complaisant, en espèces sonnantes et trébuchantes, envers les clubs, Altrad nous délivre le message que ces capitalistes cherchent à tenir les politiques en les enfermant dans le "toujours plus de soutien financier" sinon gare..., sinon je flingue le club, etc. Sans avoir à rendre compte de l'argent déjà versé par la collectivité !
Le NPA ne pratique pas ce sport politico-financier, nous le dénonçons; nous défendons en revanche le sport associatif et scolaire. Nous appelons donc à rejeter Altrad et Moure (et Salerno)... Ces gens-là, ce n'est pas notre camp. Ce n'est pas le peuple. Qu'ils dégagent tous, comme aime à dire Mélenchon ! Dommage que le Front de Gauche montpelliérain ne le suive pas sur ce... terrain puisqu'il garde une porte (de vestiaire) ouverte pour le cas où Moure, le souffle un peu court au soir du premier tour, daignerait venir y faire une ouverture pour le sprint final. Muriel Ressiguier et ses équipiers ont en effet égaré le carton rouge. Qu'ils le sachent, Thomas le tient à leur disposition... à notre tout nouveau local. Car on peut toujours sur cette base, faire équipe ... au lieu de risquer le hors jeu politique que signifierait d'intégrer la dream team Moure-Altrad-Salerno où les frères ennemis sont avant tout frères...
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