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Sanofi : les ravages de l'A.N.I.

LES PATRONS DE SANOFI PEUVENT DIRE UN GRAND MERCI
--->AUX SYNDICATS QUI ONT SIGNÉ L'A.N.I.             
--->AU GOUVERNEMENT ET AUX PARLEMENTAIRES 
QUI EN ONT FAIT UNE LOI.
("loi de sécurisation de l’emploi")

C'est en application de cette loi au si joli nom que la DIRECCTE (anciennement direction régionale du travail et de l'emploi) a validé sans sourciller l'accord que la CFTC et la CFDT ont osé signer et que la justice, avant la promulgation de cette loi avait rejeté.
Un accord qui entérine les suppressions de postes en échange d'un peu de sparadrap et de mercurochrome. Ceux-ci ne vont pas coûter trop cher aux actionnaires, puisque l'Observatoire des multinationales a calculé que chaque salarié de Sanofi avait en 2012 produit 31 141 euros de dividende, distribué l'année suivante aux actionnaires du groupe. Chacun des 110 000 travailleurs de Sanofi, de par le monde, a donc en moyenne produit une plus-value du double de son salaire.
La recherche et la production pharmaceutiques
ne doivent plus être soumises au profit :

GESTION PUBLIQUE SOUS CONTRÔLE DES SALARIÉ-ES ET DES USAGERS.
les profiteurs ne doivent plus pouvoir licencier impunément :
- INTERDICTION DES LICENCIEMENTS -
- ABROGATION DE LA LOI DE SÉCURISATION (!) DE L'EMPLOI -
Ci-dessous : un communiqué des salariés en lutte et un communiqué de SUD Chime Montpellier. npa 34
 





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