À la Une...

Valls ? Il « s'est échappé des cartons laissés par Nicolas Sarkozy » au ministère de l'intérieur...


Le 12 avril à Paris on va contester le « social-libéralisme de caserne » du "nouveau" gouvernement !
 











Entrevue vidéo (27 min) sur Mediapart


Pour l'ancien candidat anticapitaliste à la présidentielle (en 2002 et 2007), Manuel Valls « incarne la stigmatisation des Roms », dont il remarque qu'ils sont la seule communauté qu'il n'a pas évoquée lors de son discours de politique générale. Cinq ans après avoir débattu en face-à-face avec le nouveau locataire de Matignon (c'était pour le NouvelObs.com), il le juge d'ores et déjà comme « un accélérateur de précarité » et un « fossoyeur de la sécurité sociale ». Interrogé sur son adhésion au combat de Jean-Luc Mélenchon pour « une majorité alternative », ainsi que sur la victoire municipale EELV/PG à Grenoble, à laquelle le NPA n'a pas participé, il estime qu'« une gauche de rechange dans le système actuel et la crise majeure de représentation, ça ne suffira pas »

Besancenot s'élève contre le « calcul des socialistes à chaque fois qu'ils arrivent aux affaires, jouant sur le sentiment de culpabilité » de l'électorat de gauche. Et il ne voit pas « pourquoi ne pas réserver à un gouvernement socialiste aujourd'hui le même sort qu'à un gouvernement de droite ? ». Enfin, face au « grand vernis du dialogue social », qui agirait sur les classes laborieuses comme le serpent Kaa dans le Livre de la jungle (« Aie confiaaaaaaaance, crois en moi »), il appelle à se poser la « question de la grève générale », dont l'absence explique à ses yeux « la défaite politique majeure » que fut la mobilisation contre la réforme des retraites en 2010, dont le mouvement social ne s'est « toujours pas remis ».

En attendant, après la fin de non-recevoir du Front de gauche à sa proposition de listes communes aux prochaines élections européennes, il annonce que le NPA sera présent dans « au moins cinq eurorégions sur sept », et que lui-même sera sans doute candidat en Île-de-France (« on décidera la semaine prochaine »).


A lire aussi


La marche de ce samedi 12 avril, au départ initiée par le NPA, s’affirme de plus en plus comme une riposte majeure à la politique du gouvernement PS-Medef quelques jours après la validation par le Parlement de la politique de combat antisocial de Valls. Et dans de nombreuses villes des collectifs, des réunions unitaires préparent la montée sur Paris...

Affiches locales, tracts unitaires, appels autour de thèmes, positionnements spécifiques, se multiplient, mettant en lumière un rassemblement des ras-le-bol sur tous les terrains et sous tous les angles.

Débats syndicaux

En dépit du rappel à l’ordre de la direction confédérale, des structures fédérales, départementales, locales de la CGT, rejoignent l’appel des 200, le plus souvent à partir des préoccupations des salariéEs concernéEs, des mobilisations actuelles ou récentes. Malgré les réticences de la direction de la FSU, de nombreuses structures, locales ou sectorielles, s’inscrivent dans la démarche du 12 avril.

 

Pour monter en bus à Paris pour samedi, écrivez, EN URGENCE, à contact@npa34.org qui fera suivre

Et aussi





NPA 34, NPA

Consultez les articles par rubrique


CORONAVIRUS

LUTTES SOCIALES
FÉMINISME
ANTIRACISME ANTIFASCISME
>


SOLIDARITÉ MIGRANTS
ÉCOLOGIE
JEUNESSE ENSEIGNEMENT


POLITIQUE LOCALE
DÉBATS
POLITIQUE NATIONALE


INTERNATIONAL
RÉPRESSION
NPA