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Gaz de schiste. Tandis que les banques françaises s'ouvrent à son exploitation à l'étranger (Europe comprise) ...


... le gouvernement entrouvre la porte à son exploitation ici !

 
Toutes, ou presque, se déclarent très sensibles aux préoccupations environnementales. Ce qui n’empêche pas les banques françaises, Société Générale et BNP Paribas en tête, de soutenir financièrement les gaz de schiste, une industrie aux impacts néfastes pour les ressources en eau, les populations locales et le climat. C’est ce que révèle une étude réalisée par les Amis de la terre Europe, qui détaille les investissements et prêts dont bénéficient les compagnies pétrolières les plus actives dans ce secteur. Pourtant, d’autres grandes banques mondiales n’ont pas hésité à exclure les gaz de schiste de leurs investissements.

La France a pour l’instant fermé la porte au gaz de schiste sur son territoire. Mais ses entreprises nationales ne se privent pas d’en faire la promotion, en Europe et ailleurs, et d’y investir des ressources considérables. C’est le cas, bien sûr, pour les grands opérateurs gaziers, Total et GDF Suez, et pour les fournisseurs traditionnels du secteur des hydrocarbures (lire notre enquête à ce sujet). C’est aussi le cas des banques. Selon une étude réalisée pour l’association écologiste les Amis de la terre Europe, dont nous avons pu prendre connaissance en exclusivité, les banques françaises figurent en bonne place parmi les institutions financières les plus actives dans le financement du gaz de schiste dans le monde.
 Les banques françaises et le gaz de schiste : « L’objectif est de gagner beaucoup d’argent à court terme » ...

 Danger, grandes manoeuvres "socialistes"...

 

Le changement apparait en route.  Force est de constater que, alors que François Hollande disait le 14 juillet 2013, qu’il n’y aurait pas d’exploration de gaz de schiste en France tant qu’il serait président, sa nouvelle ministre de l’Ecologie ouvre la porte à cette même exploration. Cliquer ici

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« On se pose des questions. » Pour Claude Taton et Sébastien Espagne, du collectif Basta ! Gaz Alès, l’incertitude est totale concernant le permis dit de la Plaine d’Alès, qui s’étend sur 503 km² entre le sud d’Alès et la frontière ardéchoise, en passant par le bassin minier. Cliquer ici

 

Le NPA et le gaz de schiste 


 


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 NPA 34, NPA

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