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Jeunes en révolte : c'est par où une société de justice ? Et si on en parlait cet été aux RIJ ?


 

Voilà bientôt 6 ans que la crise globale du système capitaliste a des conséquences désastreuses aux quatre coins du monde...

Guerres, misère, pauvreté, chômage, précarité, drames climatiques, etc. sont le lot quotidien de millions d’êtres humains, tandis que quatre-vingt-cinq richissimes capitalistes possèdent autant de richesse que la moitié de l’humanité ! Il est temps, partout à travers le monde, d’en finir avec cette société !

[…]  Organisons-nous à l’échelle internationale !

Face à ce système, les opprimés et les exploités doivent s’organiser à l’échelle internationale. Face aux tentations nationalistes et au poison raciste et xénophobe véhiculé par l’extrême droite, nous devons opposer la solidarité et l’internationalisme. Le week-end des 31 mai et 1er juin, les jeunes du NPA ont organisé les « 3 jours pour changer le monde ! ». Cette initiative a été une vraie réussite et a regroupé plus d’une centaine de participantEs venus de toute la France.


La prochaine étape, ce sont les Rencontres internationales de jeunes. Il s’agit d’une semaine de débats entre jeunes de toute l’Europe et au-delà, pour discuter de comment changer le monde, renverser le capitalisme, mettre en place une société plus juste et nous offrir un avenir. Cette année, les RIJ ont lieu en France du 3 au 9 août.


Il y a aujourd’hui mille raisons de se révolter. Les RIJ sont une semaine pour passer de ces révoltes à la révolution !


Damien
Inscription et informations : contact-jeunes@npa2009.org




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L’évolution du chômage selon l’âge depuis 1975

En 2012, plus d’un jeune actif sur cinq (21,8 %), de 20 à 24 ans, est sans emploi. C’est quatre fois plus qu’en 1975 (5,3 %). Une part importante de la hausse a eu lieu entre 1975 et 1985. Le taux de chômage des jeunes atteint alors déjà 17 %. Une situation qui n’a rien de comparable avec les actifs de 45 à 49 ans, dont le taux est 3 fois moins élevé (7,1 % en 2012) que les 20-24 ans, même s’il a aussi progressé (il était de 2,3 % en 1975).

L’évolution du taux de chômage, sur ces deux tranches d’âge, est significative de la dégradation de l’emploi depuis les années 1970. Mais elle montre comment un taux moyen peut masquer des réalités très différentes. La majorité des jeunes peu qualifiés savent qu’ils passeront par le chômage et la précarité avant de pouvoir s’intégrer dans la vie professionnelle. Le niveau actuel du chômage a des répercussions qui vont au-delà des niveaux de vie : difficulté à se stabiliser, trouver un logement, partir en vacances, s’établir en couple, etc. Dans les tranches d’âges les plus élevés, le chômage a des conséquences désastreuses en termes de niveaux de vie. Surtout, il s’agit souvent d’un processus dont il est plus difficile de se défaire : la durée du chômage des plus de 50 ans est très supérieure à celle des plus jeunes (lire La durée de chômage selon le sexe et l’âge). Passé un certain âge, il devient plus complexe de retrouver un emploi.








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