Sous couvert d’une image contestataire, la Présidence utilise
les moyens législatifs répressifs et sans dialogue qui ont servi de
socle au phénomène d’hyper-présidence, de concentration des pouvoirs, dû
aux réformes universitaires LRU et Fioraso, qu’ils ont pourtant
publiquement dénoncés.
Communiqué de presse ci-dessous
29 Mai 2014
Signataires : Solidaires Etudiant-e-s Montpellier, SCUM/CNT-SO, SUD Education 34, SUD Recherche 34, Solidaires 34
29 Mai 2014
Signataires : Solidaires Etudiant-e-s Montpellier, SCUM/CNT-SO, SUD Education 34, SUD Recherche 34, Solidaires 34
Les
organisations soussignées demandent l’abandon par l’Université
Montpellier 3 des poursuites disciplinaires contre trois syndicalistes
de Solidaires Étudiant-e-s et une du SCUM/CNT-SO (Confédération
Nationale du Travail – Solidarité Ouvrière) pour l’accusation
fantaisiste de « trouble à l’ordre public ».
Les
trois militant-es sont accusé-es de trouble à l’ordre public et
d’agression à l’encontre de membres de l’UNI en avril 2014 lors des
élections étudiantes à Montpellier 3 et sont convoqué-es en commission
de discipline le lundi 2 Juin. Les poursuites de l’université contre ces
militant-es sont intolérables. Ils et elles ont été interdit-es de
présence sur le campus durant 30 jours, causant l’impossibilité de se
rendre aux examens !!!! La présidence a refusé tout dialogue, toute
rencontre et ne répond même pas aux courriers qui lui sont adressés. A
partir de faits mineurs, la Présidente et le Vice-Président s’acharnent
sur les militant-es pour leurs activités syndicales dans l’université.
A lire aussi
Nos dossiers Education,
Montpellier,
Université/Recherche
NPA 34, NPA