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Gaza. Le mensonge et la manipulation meurtrière d'Israël



28 juillet. La barbarie du jour
 

"Selon des témoins, des chasseurs F-16 israéliens ont lancé 5 missiles sur un groupe d’enfants." Cliquer ici

 
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Le discrédit total, politique, moral et humain, de cet Etat retombe sur tous ceux qui le soutiennent : Hollande, Valls, Cukierman, BHL... 


 Extraits.

Ce triple assassinat a été le principal déclencheur des hostilités entre Israël et Gaza – qui ont déjà fait plus de 1 000 morts côté gazaoui –, le gouvernement israélien ayant rapidement considéré le Hamas comme son commanditaire.
Sauf que ça n’a sans doute jamais été le cas. En deux semaines d’investigation – qu’on ne peut que qualifier de brutales (400 Palestiniens arrêtés, dix tués) –, aucune preuve n’est venue étayer la piste de cette responsabilité. […]

« Après que les responsables israéliens ont accusé sans relâche le Hamas du rapt des trois ados, ils ont maintenant admis que les tueurs avaient agi comme une “cellule indépendante”. » […]
Les autorités israéliennes ont-elles été aveuglées par l’émotion ? Pas si sûr. Une autre phrase lâchée par le porte-parole de la police semble contredire la thèse d’une réaction fondée sur un malentendu.
« Le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld a également déclaré que si le rapt avait été commandité par le Hamas, ils l’auraient su à l’avance. »

Israël au courant depuis le début ?

 


 
Ce qui a amené de nombreux journalistes de la presse arabe (mais pas que) à analyser l’attitude d’Israël comme une manœuvre politique calculée et destinée à attirer le Hamas dans un nouveau conflit – pour détruire le processus de réconciliation avec le Fatah. De l’opportunisme, donc. Mais d’autres journalistes, comme Musa al-Gharbi pour Al Jazeera America, y voient une manipulation politique :

« Un autre fait, moins connu mais peut-être plus important, est que dans les heures qui ont suivi la disparition des trois adolescents le 12 juin, les responsables israéliens savaient qu’ils étaient morts. […]
Sachant [cela], le gouvernement israélien a même envoyé les mères des kidnappés au Conseil des droits de l’homme de l’ONU pour attirer l’attention internationale et plaider pour le retour de leurs garçons. »
Le texte complet est ici

Illustrations par NPA 34


Moshe Yaalon, le chef d'état-major de l'époque devenu aujourd'hui ministre de la défense, nous exhortait à « brûler la conscience palestinienne ». Pour répondre à cet appel, on nous envoyait intimider et punir une communauté tout entière. Ces opérations étaient fondées sur la conviction que ces civils s'abstiendraient de se révolter si on les brutalisait, si on les opprimait et effrayait. Autrement dit, une « conscience brûlée » était une conscience effrayée. Cliquer ici

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NPA 34, NPA

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