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Montpellier. Dynamique manifestation des étudiant-es et lycéen-nes...


 Ils/elles étaient 1000 à Montpellier ... "Macron à l'usine, El Khomri à la mine !", "Retrait, retrait de la Loi Travail". "On continue..."

Communiqué CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL

La plupart des AG estudiantines de Paris comme en régions ont d’ores et déjà appelé à une nouvelle journée de manifestations la semaine prochaine dans toute la France, le 24 mars, date du conseil des ministres où sera déposé le projet de loi. Lycées bloqués en hausse, amphis occupés, et certaines facs fermées pour empêcher que ne se tiennent des coordinations (comme à Jussieu ou Bordeaux), le cocktail est réuni pour que la mobilisation perdure et grossisse jusqu’au 31 mars, vu comme le point d’orgue du mouvement, où se rejoindront salariés grévistes, étudiant et lycéens, à quelques jours de l’examen du texte en commission à l’Assemblée nationale. (Mediapart) 

Montpellier. Reportage photo NPA 34

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Pas grave : Midi Libre oublie de mentionner la présence du NPA et de l'UEC ! Cliquer ici

Lire ici aussi pour les manifs en régions 
 

Dans Le Monde...


 Dans Libération...


Dans la capitale, le site de Tolbiac de l’université Paris-I, où devait se tenir une assemblée générale après la manifestation, a été évacué, dans la violence, par de nombreux policiers.

 
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Sur Mediapart (accès réservé aux abonné-és)

Ce n’est pas le grand soir, mais le crépuscule est encore possible pour le gouvernement. À l’issue d’une deuxième journée de mobilisation contre la loi sur le travail ce jeudi, la jeunesse reste mobilisée dans la rue. Moins nombreux que la semaine passée, les cortèges organisés partout en France ont toutefois été bien plus majoritairement composés d’étudiants et de lycéens. Pour l’Unef toutefois, la « mobilisation a pris de l'ampleur par rapport au 9 mars ».

Le mouvement étudiant annonce le chiffre de 150 000 “jeunes manifestants”, la mobilisation de 200 lycées (contre 150 la semaine dernière) et un nombre de manifestants dans les cortèges étudiants en progression (« de 5 000 à 12 000 à Rennes, de 5 000 à 10 000 à Lyon, de 4 000 à 6 000 à Toulouse, de 1 500 à 3 000 à Clermont-Ferrand »). Toutes les organisations de jeunesse, étudiantes comme lycéennes ou politiques, disent leur volonté d’amplifier le mouvement. « Le mouvement des jeunes s’organise et va s’inscrire dans la durée », assure par exemple la Fidl dans un communiqué. Cliquer ici


A la CFDT Région on fait la chasse aux déviants montpelliérains...

La Marseillaise 16 mars 2016
 
A consulter


  
 
A lire aussi

 
 Jusqu'à présent, le droit du travail était, sauf exception, un droit plancher, un droit en-dessous duquel il était interdit de faire travailler des salarié-e-s, et au-dessus duquel on pouvait éventuellement négocier des dispositions plus favorables. Le projet inverse la fonction du code du travail pour en faire un texte plafond, en-dessous duquel l'employeur pourra négocier baisses de salaire, directement ou par la diminution des majorations des heures supplémentaires et complémentaires, ou encore par augmentation du temps de travail sans augmentation des salaires, par aménagement du temps de travail selon ses besoins. Tout cela se fera par des accords dérogatoires, le nom pris par la déréglementation dans le langage des communicants patronaux et gouvernementaux. Cliquer ici



Dans les facs, les administrations, les entreprises, préparer la grève !

Des universités ont d’ores et déjà voté le blocage des cours pour permettre la participation massive des étudiants à la prochaine manifestation. Les deux prochaines semaines doivent permettre de massifier et généraliser la grève dans les facs et les lycées. Chez les salariés, les rythmes de mobilisation sont nécessairement plus lents, perte de salaire oblige, mais les journées du 17 et du 24 peuvent être un premier ou un second test pour entraîner ses collègues dans l’action. Les fonctionnaires sont moins directement touchés par la réforme – encore que la remise en cause du statut suivra la loi El Khomri si elle adoptée – mais ils ont servi de vache à lait ces dernières années pour financer les cadeaux au patronat comme le CICE. C’est le moment de présenter la facture au gouvernement ! Cliquer ici
 
Dans les cliniques privées à but lucratif ou non : les employeurs qui n'ont cessé de remettre en cause les conventions collectives vont trouver dans la contre-réforme El Khomeri  de nouveaux points d'appui pour s'attaquer aux droits des  salariés. 
Dans le secteur hospitalier public, ou la précarité ne cesse de se développer, il faudrait être bien naïfs, pour croire que nous sommes à l'abri.
Rappelons nous ce qui s'est passé avec les retraites : ce sont d'abord les collègues du secteur privé qui ont été attaqués, et ensuite, au nom de "l'équité", les fonctionnaires qualifiés de "privilégiés" ont été alignés sur la situation du privé.  Cliquer ici

Quatre pages sur le projet de loi El Khomri



NPA 34, NPA

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