Flics. Violeur, sous l'uniforme tu restes un violeur !
Les quartiers populaires ne sont pas un terrain de chasse !
<.......> Centre commercial Saint-Paul quartier de la Paillade à Montpellier.
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Bernard Cazeneuve interrompt son déjeuner pour se rendre au chevet de la vitrine cassée boulevard Barbès (Le Gorafi)
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18 février
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Affaire Théo: le jeune homme est sorti de l’hôpital, le policier porte plainte (vidéo)
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Ce gouvernement c'est la classe !
Au même moment la loi se montre généreuse envers la "délinquance en col blanc", flics et magistrats, occupez-vous d'autre chose : lire ici
Ce gouvernement c'est la classe !
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Le directeur de la Police nationale s’est ému de l’appel lancé par Libération, il y a deux jours de cela, qui exhortait à l’exemplarité de celle-ci : «
 Lorsqu’ils commettent des actes contraires à la loi ou à la 
déontologie, [les policiers] sont sanctionnés judiciairement et/ou 
administrativement », lança-t-il sans ciller. Théo
 L. : 22 ans, violé au moyen d’une matraque policière en février 
2017. Adama Traoré : 24 ans, asphyxié par des gendarmes en juillet 2016.
 Rémi Fraisse : 21 ans, tué par un tir de grenade offensive en octobre 
2014. Trois noms — on pourrait bien sûr étendre la liste — volontiers 
repeints en « bavures » : de regrettables cas individuels, isolés, 
finalement exceptionnels. Le sociologue Mathieu Rigouste, auteur d’État d’urgence et business de la sécurité,
 se porte en faux : la police et les forces de l’ordre doivent être 
analysées en tant que système, cadre et structure, et non plus 
considérées comme une somme d’agents autonomes et plus ou moins « bons »
 ou « méchants », « républicains » ou « honnêtes ». Entretien avec ce 
partisan libertaire de l’« autodéfense populaire ». Cliquer ici
Et aussi 
Le « viol avec matraque » dont est accusé un policier sur Théo L., un 
jeune aulnaysien de 22 ans, a suscité la réprobation de toute la classe 
politique, mise à part l’extrême-droite. Si elles demeurent rares, les 
violences avec sévices sexuels perpétrées par des policiers ne sont 
malheureusement pas exceptionnelles. La France a déjà été condamnée à 
deux reprises par la Cour européenne des droits de l’homme pour de tels 
faits. Un policier, accusé d’avoir commis des violences similaires à 
Drancy, sera jugé le 20 février. D’autres affaires pour « agression 
sexuelle aggravée » perpétrée lors de contrôle au faciès sont en cours 
d’instruction. D’où viennent ces pratiques ? Enquête. Cliquer ici 
 En juin dernier, pour la première fois un tribunal avait condamné l’État
 français pour des contrôles de police réalisés « en tenant compte de 
l’apparence physique et de l’appartenance, vraie ou supposée, à une 
ethnie ou une race ». En se pourvoyant en Cassation, sur la base d’un mémoire révélé par Mediapart, qui soutient explicitement le bien-fondé des contrôles au faciès, le gouvernement a donné un véritable blanc-seing aux forces de l’ordre : à l’heure de l’état d’exception institutionnalisé et de la déchéance de nationalité,
 le contrôle au faciès, illégalisme routinier des forces de l’ordre, 
restera couvert par les autorités.  Le signal est clair : les droits 
demeurent à conquérir par des mobilisations contre toutes les 
« cérémonies de dégradation » infligées par la police et autres 
appareils d’État. Cliquer ici
Dans une telle situation d’injustice durable, il vaut mieux des émeutiers que des djihadistes 
 Et encore
En débat 1
 Ce qu’il y a, c’est ceci : une police absolument souveraine, qui fait ce
 qu’elle veut et s’est arrogée une impunité à peu près totale car elle 
est le dernier levier qui répond encore un peu entre les mains des 
gouvernants. La police est à ce point souveraine qu’elle a pu marcher 
sur l’Élysée, armée, masquée, au cri de « Les racailles en prison ! » à 
l’automne dernier, et ratonner les mécontents au passage. Elle est de 
moins en moins un instrument aux mains d’autorités terminalement 
discréditées, et de plus en plus une force autonome ayant d’ores et déjà
 pris parti, pour une majorité d’entre ses éléments, pour le 
Front National. C’est ce que tous les appels au calme, à la République, 
au vivre-ensemble et à l’union nationale, ce que toute cette désastreuse
 bonne volonté de gauche et l’hypocrite invocation d’une « police 
citoyenne » cherche à masquer. Le véritable tort de la BST
 d’Aulnay, c’est de s’être fait pincer, et d’avoir un peu anticipé sur 
la domination nue à quoi ils associent la victoire de Marine Le Pen. Cliquer ici
En débat 2
Cette tribune libre de 2012 
Nos dossiers Gouvernement,
Police,
Sécurité/Sécuritaire, Capitalisme, droits démocratiques,
                                            
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