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Montpellier. Le mouvement social au tribunal


Manifestation, arrestation, tribunal...
...banalisation de l'état d'urgence.

Deux matinées de suite devant le Tribunal Grande Instance (TGI) de Montpellier pour soutenir 2 camarades victimes de l'acharnement répressif contre le mouvement social.
On notera d'ailleurs la futilité des charges retenues contre eux : pour l'un, c'est le fait d'avoir écrit au marqueur sur une palissade de chantier lors de la manifestation du 15 septembre et de s'être couvert la tête à cette occasion avec son T shirt jaune repérable tout au long de la manif (ça donne : "dégradation de matériel public et dissimulation de visage"). Pour l'autre, militant politique connu, c'est "outrage à agents", sur la base de la seule parole des agents en question. Et quel est donc cet outrage ? Il les aurait traités de "pédophiles" et "violeurs d'enfants". Même pas "sales flics" ou "police nationale, milice du capital". Étonnant, quand-même de la part d'un militant politique, non ?
Et, bien sûr, le procureur emboîte le pas et demande pour le premier 115 h de Travaux d'Intérêt Général (TIG, sans doute un anagramme de TGI...), et pour le second 2 à 3 mois fermes de prison. Délibérés le 22 mars et le 20 avril.
L'occasion sans doute, une fois de plus, de se retrouver sur le parvis de ce tribunal que nous fréquentons de plus en plus souvent !
Notre solidarité envers les victimes de la répression ne faiblira pas !
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http://www.midilibre.fr/2017/03/17/montpellier-le-militant-contestataire-a-t-il-vraiment-outrage-un-policier,1480316.php
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Les inculpés s'expliquent :
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