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Retraites. Tou-te-s unie-es dès maintenant !



CONTRE LA CASSE SOCIALE

POUR DÉFENDRE NOS RETRAITES
Toutes et tous dans la rue
MARDI 24 SEPTEMBRE
à Montpellier
10h 30 au Peyrou


C'est parti ! Ils sont décidés parachever la destruction des retraites entamée en 93 par Balladur, poursuivie sans succès par Juppé en 95, reprise par Raffarin en 2003, aggravée en 2008 et 2010 par Fillon, renforcée par la "gauche" en 2013 et 2014.

"Après une nouvelle phase de « concertation » avec les organisations syndicales et une « consultation citoyenne » (sur internet, ou à l’occasion de réunions publiques) qui doit durer jusqu’à fin 2019, le projet définitif serait élaboré en début d’année prochaine pour être voté, après les élections municipales, lors de la session parlementaire d’été 2020 qui se termine en juillet. Face à la colère sociale qui s’exprime en cette rentrée par la multiplication des luttes, et aux braises du mouvement des Gilets jaunes qui couvent toujours, le pouvoir engage une nouvelle opération d’anesthésie sociale en refaisant le coup du « dialogue » avec les syndicats et du « grand débat ». Il espère ainsi gagner du temps, et éviter une mobilisation d’ampleur.
Le projet est bouclé
Mais derrière cette mascarade, sur le fond, le projet gouvernemental est déjà bouclé, ce qu’Édouard Philippe a confirmé dans ses interventions. Le pouvoir est décidé à imposer coûte que coûte sa « retraite par points », qui signifie la baisse massive des pensions et le recul de l’âge de départ, pour les générations à venir, pour les salariéEs du public comme celles et ceux du privé. Les dépenses de retraites ne pourront dépasser une « enveloppe fermée » de 14 % du PIB, alors que le nombre de retraitéEs ne va cesser d’augmenter. Philippe a rappelé le véritable sens de la contre-­réforme : pour avoir une retraite décente, « il faudra travailler plus longtemps ». S’il estime que « travailler plus longtemps n’est plus tabou pour la gauche ni pour la droite », il existe, par contre, pour ce gouvernement au service du patronat, un véritable tabou : l’augmentation des cotisations sociales patronales pour ajuster les financements aux besoins.
La seule discussion qui subsiste alors porte sur la répartition de « l’effort» à fournir par les salariéEs. « Âge pivot », « durée de cotisation », il s’agit seulement de savoir qui sera le plus perdantE parmi les perdantEs et à ce jeu, ce sont les femmes et les plus précaires qui seront les plus impactéEs.
"
Lire la suite de cet article sur le site national du NPA

 En repoussant la mise en place des mesures à plus tard (après les élections municipales), Macron et sa bande espèrent nous donner l'illusion que rien ne presse, que nous avons du temps devant nous.
Mais nous le savons :
c'est dès maintenant qu'il nous faut nous unir
dans un front du refus du démantèlement de nos acquis.







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