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| Crédit photos: correspondant-es NPA34 |
Le préfet et les forces de répression espéraient sans doute, en confisquant le matériel sono lors de la manifestation du 16 janvier, décourager et démobiliser la jeunesse. Pari perdu : parmi les quelques 1500 manifestant-es qui ont longuement parcouru la ville samedi 13 février, une très grosse majorité de jeunes qui ne supportent plus la répression et les interdictions, le flicage et les injustices.
Comme l'ont déclaré de manière unitaire les 3 soundsystems qui ont animé ce défilé : "Nous sommes toutes, tous concernés par ce fichage massif et par ces abus policiers qui continuent de s'accentuer! Nous ne voulons pas de ce monde où les caméras seront équipées de reconnaissance faciale servant en partie à ficher des personnes qui défendent simplement leurs droits ! [...] Notre colère se danse, nous manifestons en musique! Alors maintenant dansons et montrons leur à quelle point nous voulons vivre libres ! "
Absence du PCF, de LFI, de la CGT... Parmi les forces syndicales, seule l'Union Syndicale Solidaires était présente en tant que telle.
Parti du marché de Mas Drevon, ce défilé a reçu un bon accueil dans des quartiers qui n'ont pas l'habitude de voir défiler les manifestations, en particulier le quartier Paul Valéry et le faubourg Figuerolles pour prendre fin Place Salengro.
À Béziers, le rassemblement contre les lois
liberticides et en soutien à Max, ce jeune condamné à 9 mois de prison
fermes plus 9 mois avec sursis a été marqué par une forte présence des jeunes.
Ci-dessous, le tract distribué par le NPA (cliquer dessus pour l'agrandir), ainsi que la vidéo de l'intervention de Romain (NPA34 pour le collectif) à propos du projet de loi "séparatisme". Et puis quelques photos et des articles de presse.
Claude correspondant NPA34
Intervention de Romain (Cliquez)
Quelques photos...
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| Béziers |
La Mule du Pape : Loi Sécurité Globale : 1500 manifestant·es et du gros son
