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Quel internationalisme ? Rencontre Lordon-Besancenot

 

Un débat pas très récent, mais toujours actuel.

Un débat d'1h 20 organisé par la revue Ballast en 2017. Il y a une deuxième partie consacrée aux questions du public. Elle est accessible à la suite de la première partie.

Séraphin Langlois

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Ballast le 13 avril 2017 :

Une rencontre Lordon-Bensancenot sur l’internationalisme : rien qu’à voir l’étiquette, déjà tout le monde salive. Les deux compères sont d’excellents orateurs, d’authentiques penseurs, ils cheminent ensemble dans le territoire d’une gauche radicale exigeante avec juste assez d’écart entre eux pour que leur débat soit à la fois nécessaire et possible. Pour Besancenot, l’internationalisme est la condition de toute politique, et la référence à la nation ouvre toujours le risque d’un repli susceptible de nous priver des contacts avec ce qu’on appelait jadis le « prolétariat », catégorie vaste où l’on pouvait se retrouver par-delà les frontières. Pour Lordon, l’inter-nationalisme ne se conçoit qu’avec un tiret qui reconnaît qu’il faut bien, pour qu’elles interagissent, qu’il y ait des nations, c’est-à-dire des périmètres d’exercice réel de la souveraineté. On voit dès lors où se joue la discussion : sur la question de ce périmètre, celui de ce « nous » à partir duquel peut se bâtir un projet social émancipateur.
Une rencontre Lordon-Bensancenot sur l’internationalisme : rien qu’à voir l’étiquette, déjà tout le monde salive. Les deux compères sont d’excellents orateurs, d’authentiques penseurs, ils cheminent ensemble dans le territoire d’une gauche radicale exigeante avec juste assez d’écart entre eux pour que leur débat soit à la fois nécessaire et possible. Pour Besancenot, l’internationalisme est la condition de toute politique, et la référence à la nation ouvre toujours le risque d’un repli susceptible de nous priver des contacts avec ce qu’on appelait jadis le « prolétariat », catégorie vaste où l’on pouvait se retrouver par-delà les frontières. Pour Lordon, l’inter-nationalisme ne se conçoit qu’avec un tiret qui reconnaît qu’il faut bien, pour qu’elles interagissent, qu’il y ait des nations, c’est-à-dire des périmètres d’exercice réel de la souveraineté. On voit dès lors où se joue la discussion : sur la question de ce périmètre, celui de ce « nous » à partir duquel peut se bâtir un projet social émancipateur.

❝Une ren­contre Lordon-Bensancenot sur l’in­ter­na­tio­na­lisme : rien qu’à voir l’é­ti­quette, déjà tout le monde salive. Les deux com­pères sont d’ex­cel­lents ora­teurs, d’au­then­tiques pen­seurs, ils che­minent ensemble dans le ter­ri­toire d’une gauche radi­cale exi­geante avec juste assez d’é­cart entre eux pour que leur débat soit à la fois néces­saire et pos­sible. Pour Besancenot, l’in­ter­na­tio­na­lisme est la condi­tion de toute poli­tique, et la réfé­rence à la nation ouvre tou­jours le risque d’un repli sus­cep­tible de nous pri­ver des contacts avec ce qu’on appe­lait jadis le « pro­lé­ta­riat », caté­go­rie vaste où l’on pou­vait se retrou­ver par-delà les fron­tières. Pour Lordon, l’in­ter-natio­na­lisme ne se conçoit qu’a­vec un tiret qui recon­naît qu’il faut bien, pour qu’elles inter­agissent, qu’il y ait des nations, c’est-à-dire des péri­mètres d’exer­cice réel de la sou­ve­rai­ne­té. On voit dès lors où se joue la dis­cus­sion : sur la ques­tion de ce péri­mètre, celui de ce « nous » à par­tir duquel peut se bâtir un pro­jet social émancipateur.❞

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ACCÉDER À LA SUITE ET AUX DEUX PARTIES EN VIDÉO

(durées 1h20' et 1h 05')

Une rencontre Lordon-Bensancenot sur l’internationalisme : rien qu’à voir l’étiquette, déjà tout le monde salive. Les deux compères sont d’excellents orateurs, d’authentiques penseurs, ils cheminent ensemble dans le territoire d’une gauche radicale exigeante avec juste assez d’écart entre eux pour que leur débat soit à la fois nécessaire et possible. Pour Besancenot, l’internationalisme est la condition de toute politique, et la référence à la nation ouvre toujours le risque d’un repli susceptible de nous priver des contacts avec ce qu’on appelait jadis le « prolétariat », catégorie vaste où l’on pouvait se retrouver par-delà les frontières. Pour Lordon, l’inter-nationalisme ne se conçoit qu’avec un tiret qui reconnaît qu’il faut bien, pour qu’elles interagissent, qu’il y ait des nations, c’est-à-dire des périmètres d’exercice réel de la souveraineté. On voit dès lors où se joue la discussion : sur la question de ce périmètre, celui de ce « nous » à partir duquel peut se bâtir un projet social émancipateur.
Une rencontre Lordon-Bensancenot sur l’internationalisme : rien qu’à voir l’étiquette, déjà tout le monde salive. Les deux compères sont d’excellents orateurs, d’authentiques penseurs, ils cheminent ensemble dans le territoire d’une gauche radicale exigeante avec juste assez d’écart entre eux pour que leur débat soit à la fois nécessaire et possible. Pour Besancenot, l’internationalisme est la condition de toute politique, et la référence à la nation ouvre toujours le risque d’un repli susceptible de nous priver des contacts avec ce qu’on appelait jadis le « prolétariat », catégorie vaste où l’on pouvait se retrouver par-delà les frontières. Pour Lordon, l’inter-nationalisme ne se conçoit qu’avec un tiret qui reconnaît qu’il faut bien, pour qu’elles interagissent, qu’il y ait des nations, c’est-à-dire des périmètres d’exercice réel de la souveraineté. On voit dès lors où se joue la discussion : sur la question de ce périmètre, celui de ce « nous » à partir duquel peut se bâtir un projet social émancipateur.
Une rencontre Lordon-Bensancenot sur l’internationalisme : rien qu’à voir l’étiquette, déjà tout le monde salive. Les deux compères sont d’excellents orateurs, d’authentiques penseurs, ils cheminent ensemble dans le territoire d’une gauche radicale exigeante avec juste assez d’écart entre eux pour que leur débat soit à la fois nécessaire et possible. Pour Besancenot, l’internationalisme est la condition de toute politique, et la référence à la nation ouvre toujours le risque d’un repli susceptible de nous priver des contacts avec ce qu’on appelait jadis le « prolétariat », catégorie vaste où l’on pouvait se retrouver par-delà les frontières. Pour Lordon, l’inter-nationalisme ne se conçoit qu’avec un tiret qui reconnaît qu’il faut bien, pour qu’elles interagissent, qu’il y ait des nations, c’est-à-dire des périmètres d’exercice réel de la souveraineté. On voit dès lors où se joue la discussion : sur la question de ce périmètre, celui de ce « nous » à partir duquel peut se bâtir un projet social émancipateur.
Une rencontre Lordon-Bensancenot sur l’internationalisme : rien qu’à voir l’étiquette, déjà tout le monde salive. Les deux compères sont d’excellents orateurs, d’authentiques penseurs, ils cheminent ensemble dans le territoire d’une gauche radicale exigeante avec juste assez d’écart entre eux pour que leur débat soit à la fois nécessaire et possible. Pour Besancenot, l’internationalisme est la condition de toute politique, et la référence à la nation ouvre toujours le risque d’un repli susceptible de nous priver des contacts avec ce qu’on appelait jadis le « prolétariat », catégorie vaste où l’on pouvait se retrouver par-delà les frontières. Pour Lordon, l’inter-nationalisme ne se conçoit qu’avec un tiret qui reconnaît qu’il faut bien, pour qu’elles interagissent, qu’il y ait des nations, c’est-à-dire des périmètres d’exercice réel de la souveraineté. On voit dès lors où se joue la discussion : sur la question de ce périmètre, celui de ce « nous » à partir duquel peut se bâtir un projet social émancipateur.

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