Netanyahou, premier ministre de l'Etat d'apartheid israélien à Paris, invité par Hollande !
Visite annoncée pour la semaine prochaine (sans date précisée)
Samedi 27 octobre : Montpellier, place de la Comédie 14h30, Stand et actions de protestation
contre la venue du raciste Netanyahou.
Nous
installerons "Le cimetière des enfants de Gaza", assassinés par l'armée
israélienne lors de la guerre contre Gaza pendant l'hiver 2008-2009,
pour rappeler les crimes de guerre de l'état israélien.
(Lundi 29, 18h30 à la CIMADE, réunion du Comité BDSFrance34) 28 rue du Fbg Boutonnet (arrêt tram : place Albert 1er)
Préparation d'une action contre l'Euro-espoirs 2013 à Tel Aviv
ouvert à toutes et tous.
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Un sondage révèle que la plupart des Juifs israéliens soutiennent le régime d’apartheid en Israël
Gideon Levy - Haaretz
La
majorité de la population juive en Israël soutient l’établissement d’un
régime d’apartheid en Israël au cas où l’État annexerait officiellement
la Cisjordanie. Une majorité est explicitement favorable aussi à la
discrimination envers les citoyens arabes de l’État, révèle un sondage.
Lire la suite de l'article de Gidéon Levy : http://www.protection-palestine.org/spip.php?article12065
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A propos du soutien des juifs israéliens au régime d’apartheid en Israël
Omar Barghouti
Le
fait que la moitié de la population juive israélienne soutienne le
nettoyage ethnique des citoyens palestiniens d’Israël n’est pas nouveau.
Que 59 % des juifs israéliens soutiennent la discrimination raciale
légalisée et institutionnalisée contre les citoyens palestiniens
autochtones d’Israël n’est pas une surprise. Les précédents sondages ont
fourni des chiffres du même ordre. Il est extrêmement important que
Gideon Levy dénonce une nouvelle fois cette situation.
Ce
qui est surprenant, cependant, c’est comment Israël, la plupart des
Israéliens (notamment des journalistes professionnels et libéraux), et
des sympathisants de l’apartheid israélien (depuis les universitaires
anarchistes « radicaux » des États-Unis, pour une grande part, qui
soutiennent dans les apparences les « droits des Palestiniens » - pour
seulement 38 % des Palestiniens - jusqu’aux plus ardents sionistes)
comment ils continuent de propager une définition autoproclamée
absolument erronée.
Levy
dans cet article (1), comme dans ses précédents, réitère l’hypothèse
absurde que c’est seulement quand les Israéliens juifs deviennent une
minorité dans la Palestine historique (48 + les territoires de 67) que
l’on peut qualifier Israël d’État apartheid. On ne peut blâmer Levy
alors que de nombreux universitaires, politiciens israéliens et
sympathisants inavoués de l’apartheid israélien en Occident répètent ce
même faux raisonnement à de multiples occasions. Cette prémisse
minorité-majorité qui est considérée comme une condition pour pouvoir
qualifier un régime d’apartheid, cependant, se fonde soit sur
l’ignorance de la définition des Nations-Unies pour le crime d’apartheid
ou sur l’obstination, comme c’est le cas souvent d’Israël, à en
redéfinir les termes. De toute façon, l’affirmation implicite ici est
qu’Israël ne peut être qualifié d’État apartheid que si, comme pour
l’Afrique du Sud de l’apartheid, il y a un groupe racial « minoritaire »
qui opprime méthodiquement la « majorité » de la population. Il s’agit
d’une époque, d’une affirmation erronées.
Selon la Convention internationale sur l’élimination et la répression du crime d’apartheid (votée par les Nations-Unies en 19733) et plus précisément, le Statut de Rome de la Cour pénale internationale, le crime d’apartheid est défini comme suit :
« actes
inhumains... commis dans le cadre d’un régime institutionnalisé
d’oppression systématique et de domination d’un groupe racial sur tout
autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l’intention
de maintenir ce régime. » (article 7-2-h du Statut de Rome).
« Racial »
ici est conforme à la définition très large du terme adopté par les
Nations-Unies et applicable aux juifs israéliens et aux Arabes
palestiniens en tant que deux groupes « raciaux ».
Il
n’y a absolument aucune référence dans cette définition internationale
de l’apartheid à des majorités ou minorités ! Selon cette définition, et
rétrospectivement, les USA, avec une majorité blanche manifestement
écrasante, ont pratiqué un apartheid contre les Noirs et les autres
« Non-Blancs » dans les États du Sud, avec des lois qui permettaient aux
Blancs de discriminer systématiquement les autres.
Le
fait est qu’Israël a des dizaines de lois qui, continuellement, ont
discriminé les citoyens « non juifs » de l’État, les Palestiniens natifs
(chrétiens, musulmans ou autres). Il dénie systématiquement aux
citoyens « non juifs » des droits égaux dans des domaines primordiaux de
la vie, surtout en ce qui concerne la propriété foncière,
l’enseignement, les services médicaux et de nombreux emplois.
Selon
les plus récentes statistiques, les Israéliens juifs ne font pas plus
de 49 % de la population totale sous le contrôle d’Israël (la Palestine
historique), une minorité (2). Ceci, bien sûr, sans tenir compte des
millions de Palestiniens natifs en exil, auxquels Israël refuse leur
droit fondamental au retour dans leurs foyers simplement parce qu’ils ne
sont pas du bon type. Malgré tout, cette statistique est totalement
hors propos s’agissant de décider si le système de discrimination
raciale d’Israël répond à la définition des Nations-Unies de
l’apartheid.
En 1948,
Israël est né État d’apartheid, et il a toujours été un État
d’apartheid, parce qu’il a toujours eu des lois racistes qui
discriminent ses citoyens non juifs, à plus forte raison les
Palestiniens qui ne sont pas des citoyens, quel que soit le pourcentage
de la population totale que représentent les Israéliens juifs.
(1) - http://www.pourlapalestine.be/index.php?option=com_content&view=article&id=1450:un-sondage-revele-que-la-plupart-des-juifs-israeliens-soutiennent-le-regime-dapartheid-en-israel&catid=1:latest-news Gideon Levy - Ha’aretz : http://www.haaretz.com/news/nationa...
(2) - voir notamment : C’en est fini de la « majorité juive » en Palestine - Akiva Eldar - Ha’aretz http://www.haaretz.com/news/feature...
Omar Barghouti est
un militant des droits humains, membre fondateur du mouvement de
boycott mondial contre Israël à direction palestinienne, et auteur deBoycott, désinvestissement, sanctions. (BDS) contre l’apartheid et l’occupation de la Palestine
(Éditions La Fabrique).
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DÉCLARATION DE LA PREMIÈRE CONFÉRENCE ÉTATIQUE (DE L'ÉTAT ESPAGNOL)
POUR LE BOYCOTT, DÉSINVESTISSEMENT ET SANCTIONS CONTRE L’ÉTAT D’ISRAËL
« HIER L’AFRIQUE DU SUD, AUJOURD’HUI LA PALESTINE »
La
Conférence, qui s'est tenue à Barcelone les 19-21 Octobre 2012, adhère à
l'appel de la société civile palestinienne à rejoindre la campagne
internationale de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) contre
l'Etat d'Israël et appelle la société civile de l’état espagnol à la rejoindre.
Réunis à Barcelone, plus de 500 militants et 50 organisations de la société civile de l’Etat espagnol, réaffirmons notre attachement à la lutte du peuple palestinien lors de la célébration, ce week-end à Barcelone, de la première Conférence étatique pour le boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) contre l'apartheid israélien : «Hier, l'Afrique du Sud d'aujourd'hui la Palestine ».
Nous constatons la progression de la campagne BDS comme élément central de toutes les actions et activités de solidarité avec le peuple palestinien. A cette fin, la Conférence a décidé dans ses conclusions de travailler vers une campagne BDS transcendant le mouvement de mouvement de solidarité avec le peuple Palestinien. Avec ces objectifs, nous exprimons notre volonté de coordination avec le Comité national palestinien (BNC), qui conduit et impulse le mouvement international de soutien à la campagne BDS.
Le
boycott de l'Etat d'Israël est une campagne qui émane du peuple
palestinien lui même en 2005. Parmi les exigences de cet appel il y a :
la fin de l'occupation par Israël de tous les territoires arabes en 67,
le droit au retour pour tous les réfugiés, et l'égalité des droits pour
tous les citoyens de l'Etat d'Israël.
De même nous constatons la nécessité de soutenir cette campagne non-violente pour mettre fin à la violation systématique des droits de l'homme et du droit international par Israël. Violations constatées une nouvelle fois à l’occasion de l’arrestation dans les eaux internationales de la dernière flottille à destination de Gaza pendant la tenue de la Conférence. C’est pour quoi nous exigeons de notre gouvernement de garantir la liberté de circulation dans les eaux de la Méditerranée, de mettre fin au blocus de Gaza et exiger la libération immédiate des personnes qu’ à ce jour Israël maintient prisonnières.
En
tant qu’ organisations de la société civile et militants de la cause
internationaliste, nous lançons un appel à la société civile
internationale (et à tous les hommes de bonne volonté) à rejoindre ce
mouvement du peuple palestinien basé sur des fondements éthiques de
justice, liberté et égalité, pour mettre fin à l'impunité de l'Etat d'Israël.
Barcelone, 21 Octobre 2012
Traduction : JLM
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Le Fonds national juif commence à payer pour la dépossession
mercredi 24 octobre 2012 - 05h:21
Tarabut - Hythabrut
En
2011, le FNJ-UK a perdu plus de 50 % de ses ressources en dons,
investissements et héritages - de 5,1 millions de livres sterling en
2010 il est passé à un peu plus de 2,4 millions en 2011. Au sein de
cette baisse, les dons directs au FNJ-UK ont chuté d’un 1 million de
livres.
Lire la suite : http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=12779
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