Université et Recherche. Préfet, recteur, président de région, les illusionnistes de l'ordre libéral amusent la galerie !
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Des assises qui tiennent debout dans la LRU sarkozyenne et l'austérité budgétaire de Hollande !
Les Assises de l’Enseignement supérieur et de la recherche établissent
le cadre national et territorial d’une large consultation de la
communauté scientifique en vue de produire une nouvelle loi-cadre. Mais
il est à craindre [...] que ces
Assises ne soient qu’un artifice de consultation et de quête d’un
consensus, une réponse à une commande idéologique
et un habile paravent pour valider des mesures déjà écrites, les vendre
en douceur et parachever ainsi les réformes engagées par la droite. (Pascal Maillard, voir ci-dessous)
L'Hérault du jour du 17 octobre 2012
Pécresse en a rêvé : Fioraso va le faire !
« Au secours ! Rendez-nous Pécresse ! » aurait pu être le titre
ironique de ce billet, tant il ne restera bientôt plus aux
universitaires que l’humour noir et un grand rire jaune pour réagir aux
projets politiques de Geneviève Fioraso.
Devant l’urgence et le devoir d’alerte, je diffère la publication de mon troisième volet sur « Les socialistes et l’université » (voir ici puis là) pour rendre compte d’une proposition stupéfiante de la ministre, si tant est qu’on puisse être encore surpris par les orientations de notre très libérale Geneviève Fioraso. De quoi s’agit-il ?
A l’occasion d’un discours prononcé devant la Conférence des directeurs d'écoles françaises d'ingénieurs (Cdefi), « un rendez-vous manqué » selon le site EducPros (voir ici), la ministre a déclaré le 2 octobre dernier souhaiter « responsabiliser » les administrateurs des universités en accordant un droit de vote aux
Devant l’urgence et le devoir d’alerte, je diffère la publication de mon troisième volet sur « Les socialistes et l’université » (voir ici puis là) pour rendre compte d’une proposition stupéfiante de la ministre, si tant est qu’on puisse être encore surpris par les orientations de notre très libérale Geneviève Fioraso. De quoi s’agit-il ?
A l’occasion d’un discours prononcé devant la Conférence des directeurs d'écoles françaises d'ingénieurs (Cdefi), « un rendez-vous manqué » selon le site EducPros (voir ici), la ministre a déclaré le 2 octobre dernier souhaiter « responsabiliser » les administrateurs des universités en accordant un droit de vote aux
personnalités extérieures à l’occasion de l’élection
des présidents d’université.
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