L'arbre de la réforme des "rythmes scolaires" ne cachera pas la forêt du refus du gouvernement d'annuler la casse des années Sarkozy...
L'Hérault du jour du 13 février 2013
Au niveau national
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Le Monde.fr |12.02.2013 Par François Béguin
Le rejet de la réforme des rythmes scolaires peut-il se résumer à une
histoire de mercredi matin travaillé pour les enseignants ? A l'école
élémentaire de la rue Ramponeau, dans le XXe arrondissement
de la capitale, la réponse est catégorique. C'est non. Si Valérie Chilma
accepte d'ouvrir les portes de l'école qu'elle dirige depuis huit ans,
c'est pour dissiper un "malentendu". Ce n'est pas pour des raisons "corporatistes" ou par "refus de toute réforme" que son établissement était fermé le 22 janvier et le sera de nouveau mardi 12 février mais au contraire pour dénoncer un "bidouillage de plus" opéré, selon elle, sans concertation ni moyens. "Le débat est bien au delà du mercredi."
La question des enseignants est simple et légitime : où est l'intérêt de l'enfant ?