Retraite des déchets
Remarque, ils ont un argument de poids, les enfants et les petits enfants étant au chômage, il n'y a que vieillir qui rapporte un peu de fric. C'est vrai que si tout le monde avait un boulot, fini le problème des retraites. "Travailler plus nombreux pour gagner plus de cotisation", ça paraît raisonnable. Ben non! Ça ne marchera pas! Et tu sais pourquoi? A cause du slogan. Un bon slogan, ça fait huit pieds et la césure doit rimer, sinon ça marche pas. La preuve "Travailler plus pour gagner plus" Huit pieds et celui du petit Nicolas à l'étrier présidentiel. Puis "Le changement, c'est maintenant" et pan, l'Hollande envahit la France. Tu as huit syllabes pour convaincre, pas une de plus, on est un pays lettré ne l'oublie pas. Au-delà de huit le message se brouille.
Bon comment faire alors avec ces paquets de vieux et ces montagnes de chômeurs. On pourrait penser qu'il faudrait arrêter ces campagnes anti-tabac, autoriser les gens à rouler bourré, les gaver de mauvais cholestérol, ça dégagerait des effectifs. Mais de l'autre coté ça coûterait cher à la Sécu. Et si la sécu et les retraites sont sur un même bateau et tombent à l'eau, on se demandera si c'est la gauche ou la droite qui les ont poussées… ( A SUIVRE)
Et aussi sur le blog du bonhomme
Gros pépin à Orange
Pour en savoir plus : Richard se met à table, Tapie mâche ses mots et L'Etat se prononcera lundi sur le maintien de Richard à la tête d'Orange
Cela a à voir avec le dessin qui suit :
Tapie au fond du bocal...
Pour comprendre la face politique cachée sous le "tapie" : De Mitterrand à Sarkozy, le révélateur Tapie par Laurent Mauduit (Mediapart)
Avec El Roto...ça déchire (pour ceux qui ne suivent pas roto : déchiré) [1]
- Si vous vivez moins, vous toucherez plus, c'est tentant, non ?
- Non c'est non !
A leur réveil, la démocratie n'était plus là
La position de l'Eglise restait immuable
OK, mon gars, OK. Mais, tu sais, le chômage des jeunes ça s'arrange avec l'âge
Ci-dessous : A cheval sur les principes, mais pas queue...ou comment, pour certains, mettre le pied à l'étrier, c'est un peu (?) le prendre (...son pied). Quant aux "certaines", en profitent-elles pour monter sur leurs grands chevaux ? Mais après tout, cela nous fait une belle jambe, non ? [commentaires libres sous l'irresponsabilité éméchée, week end oblige, d'un gestionnaire du blog NPA 34 !]
Ils occupent tout le pouvoir mais les fautes qu'ils commettent, ils les partagent avec tout le monde
[1] El Roto, de son vrai nom Andrés Rábago, explique ainsi le sens du pseudo qu'il a pris par-delà la signification première du mot : "El Roto era un pseudónimo que empecé a usar hace ya mucho tiempo, en la época de Hermano Lobo,
a finales de los setenta, y que se refería a un individuo social que
era el marginal, lo que nosotros llamábamos marginal: esas personas
destrozadas que entonces veías en la calle. Sobre todo era una época en
la que básicamente lo que veías en la calle además de los mendigos eran
los drogadictos. Era la época de la heroína y sus terribles
consecuencias. Bueno, pues era en ese tipo de gente marginal que estaba
fuera de la sociedad y que eran a su vez víctimas también de algún modo
del esquema social imperante a quienes se refería el nombre de El Roto, porque los personajes que dibujaba yo en ese momento eran justamente esa gente de la calle." (Andrés Rábago «El Roto»: «Estamos en un período oscuro de nuestra propia cultura al que es necesario aportar algo de luz»). On pourrait traduire par "Le paumé" ou encore "Le loser".