Les sirènes des opérateurs privés appelées à retentir toujours plus fort!
L’issue politique d’élections municipales aux
allures de naufrage va peser dans des proportions insoupçonnées sur deux
compartiments stratégiques de la gestion de l’eau. Les orientations
générales des politiques publiques de l’eau, déjà très sévèrement mises à
mal depuis un an, et les choix en matière de mode de gestion, arrêtés
pour l’essentiel aujourd’hui au niveau intercommunal, échelon du mille
feuille territorial qui va connaître un coup de barre à droite sans
précédent, qui mettra mécaniquement à mal l’option de la gestion
publique de l’eau.
Depuis un an, « cornerisé » dans l’attente d’une croissance introuvable (et qui ne reviendra jamais dans les formes connues antérieurement), le gouvernement a, par paliers, avec une accélération frénétique depuis la rentrée 2013, mis à bas des pans entiers de la construction législative et réglementaire édifiée depuis un demi siècle pour protéger l’environnement.
Depuis un an, « cornerisé » dans l’attente d’une croissance introuvable (et qui ne reviendra jamais dans les formes connues antérieurement), le gouvernement a, par paliers, avec une accélération frénétique depuis la rentrée 2013, mis à bas des pans entiers de la construction législative et réglementaire édifiée depuis un demi siècle pour protéger l’environnement.
Une hubris mortifère qui donne le vertige, avec, au bas mot, une cinquantaine de décisions qui visent à donner pleine et entière satisfaction, et de plus en plus souvent avant même qu’ils l’aient demandé, à tous les lobbies offrant le spectacle d’une danse du scalp effrénée devant l’Elysée et Matignon, à qui administrations centrales et grands corps enjoignent de tout lâcher sans barguigner. Ce qui est fait avec une célérité époustouflante.
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Illustration tirée de Montpellier 4020
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