"Il y a un moment où il faudra arrêter de voter PS au second tour !"
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À Paris, 30 000 participantEs dont plus de la moitié sous les ballons de la CGT et un important cortège FO. Le reste est partagé entre Solidaires, dynamique, et la FSU. En région, plusieurs défilés avaient lieu dans la matinée. Ainsi, 25 000 manifestantEs ont défilé à Marseille, 2 500 à Clermont-Ferrand, où une banderole FO proclamait « non au pacte Hollande, Gattaz et Berger ». À Grenoble, 5 000 manifestantEs, avec 50 % des tramways et bus arrêtés. Et 5 000 au Havre, 1 500 à Saint-Nazaire, 3 000 à Nice, 5 000 à Nantes, 1 800 dans le Maine-et-Loire, dont 1 500 à Angers, 3 000 à Toulon, 2 500 à Rennes, avec des slogans remarqués « Medef, PS, CFDT empactés », « non au pacte des voleurs ». Et partout, des cortèges des secteurs de la santé et des hôpitaux importants et dynamiques.
Un contexte compliqué..
Ni évidente ni habituelle, cette journée, appelée par l’intersyndicale CGT-FO-FSU et Solidaires à quelques jours du premier tour des élections municipales. D’autant plus que, initiée par FO, le ralliement de la CGT, entraînant dans la foulée celui de la FSU puis de Solidaires, ne s’est pas fait sans débat. Le secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon, avait critiqué les pressions de FO sur des organisations de la CGT : « C’est, avouons-le, un souci ! » Il affirmait encore le 19 février que ce 18 mars « ne sera pas une journée contre le pacte de responsabilité ».
Thomas, tête de liste de Montpellier sociale, écologiste et solidaire, était présent à la manif de Montpellier. Il défilait avec ses camarades de travail, syndiqués et non syndiqués...
Lu dans L'Hérault du jour de ce 19 mars 2014
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