Ne nous Fillon plus aux apparences, Hollande est à l'aile gauche de l'UMP... Valls, lui, est moins à gauche !

Urgent : organisons la riposte aux mesures de la droite !

 

 

 L'Hérault du jour du 17 avril 2014

Remarque

Concernant le livre mentionné d'Annie Lacroix-Riz, indépendamment de son contenu que je ne connais pas, je crois qu'il faut émettre les plus expresses réserves sur la façon qu'a une partie de la gauche radicale de déplacer la critique des politiques gouvernementales du terrain même de l'économique sur celui du national :  pour reprendre les mots d'Annie Lacroix-Riz, ce n'est pas "l'influence américaine  et allemande" que nous combattons mais le capitalisme qui, dans sa phase de mondialisation et par-delà des contradictions internes, entre autres nationales, de circonstance, converge transnationalement pour attaquer les peuples, y compris le peuple américain et le peuple allemand. De ce point de vue-là, Hollande est un procapitaliste américain, allemand, français, etc. ! Autant dire que la mention de la nationalité est hors de propos. On ne devrait jamais sortir du constat qu'un Hollande et sa bande participent de la seule influence qui "joue", celle du capital internationalisé sous la houlette articulée du FMI, de la Banque Mondiale, de la Commission Européenne, de l'OMC, etc., et qu'elle appelle, en réponse, la lutte unie des peuples, de tous les peuples. Cela avait nom, il y a peu encore, internationalisme. La guerre idéologique du système en a obscurci la portée. On n'est pas obligés de l'accepter... quitte à réinventer la chaîne de solidarité qui le sous-tendait et que la modernité néolibérale (avec la "crise" qu'elle fait payer aux populations) a brisée.

Antoine

Sur le Rwanda on peut compléter ce qu'en dit Roland Pfefferkorn par ceci :

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 Difficile pour l'opposition de se positionner quand la gauche piétine ses plates-bandes (NouvelObs : lire ici)

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