A Béziers
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REPORTAGE
Soutenu par le FN, le maire s’entoure de fidèles du Bloc identitaire.
De rage, d’aucuns jettent leur savate. Robert Ménard, lui, balance sa cravate. Il en avait pourtant sorti une belle en ce jour d’avril qui devait le voir propulsé à la tête de l’agglomération de Béziers, après avoir remporté la mairie (avec le soutien du FN) de la sous-préfecture de l’Hérault lors d’une triangulaire. Mais ceux qu’il appelle avec condescendance les «petits maires des villages» se sont rebellés. Et ont tout simplement fait de la politique en disant non à un maire d’extrême droite, indigne, à leurs yeux, de prendre la présidence d’une telle instance.
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L'originalité "socialiste" de Béziers !
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Contrairement à ce que notre homme dit dans l'article ci-dessus de Midi Libre, il est toujours membre du PS : voir l'article de l'Hérault du jour (du 9 mai) qui suit
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Robert Ménard à Béziers : p'tit gars du coin ou vrai dur du FN ?
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... parce qu'il est plus à droite et que, dans l'immédiat électoraliste des Européennes, il vaut mieux s'en démarquer ? Juste ce qu'il faut pour attraper les voix de quelques gogos de l'UMP ?
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