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Otage assassiné : nous condamnons !


 Union nationale indignée, c'est non !


Un appel à manifester dimanche intitulé « Assassinat d’Hervé Gourdel : les djihadistes ne nous diviseront pas » a été lancé par SOS Racisme suite à l’initiative du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM). Il est rejoint par une grande partie de la gauche, aux côtés de BHL et de personnalités de droite. 
L'assassinat d'Hervé Gourdel est révoltant, insupportable comme le sont l'ensemble des atrocités commises par l'Etat islamique que ce soit contre les Chrétiens d’Irak et de Syrie, les yézidis, les juifs, les musulmans, les Kurdes, les occidentaux, blancs, noirs…Leur terrorisme sanglant et barbare vise les peuples du Moyen-Orient auxquels ils veulent imposer leur dictature en dressant un fossé de sang entre eux et le reste du monde, entre eux et les puissances occidentales. […]
Aujourd'hui, le gouvernement français engagé dans une nouvelle guerre en Irak voudrait obtenir l'union nationale derrière sa politique en manipulant l'opinion légitiment révoltée par l'assassinat d'Hervé Gourdel et les atrocités commises par l'EI. Mais cette nouvelle guerre aura, en pire, les mêmes résultats que les deux précédentes, le chaos, la misère, des souffrances sans nom pour les populations.
Les travailleurs, les classes populaires de ce pays n'ont aucune raison de laisser faire cette guerre en leur nom. Ils en ont en revanche beaucoup de se dresser contre le racisme, la xénophobie, les enfants monstrueux du nationalisme et du chauvinisme.
Nous ne serons pas de celles et de ceux qui manifesteront aux côtés des va-t-en-guerre à la sauce BHL qui se taisaient quand Israël bombardait Gaza en semant la mort et la terreur.
Ce ne sera pas en notre nom. Cliquer ici

Lire ci-dessous
 

L'assassinat de Hervé Gourdel est un crime abject mais la récupération de ce crime par un Hollande qui frétille d'aise dès qu'il endosse la panoplie du va-t-en-guerre est assez glaçante.

Que le Président parle des Français qui ont voté à 25% pour le Front national aux dernières élections comme d'un peuple "épris de liberté" qui susciterait de ce fait la haine des jihadistes, voilà qui est à tout le moins extrêmement problématique. Il faut refuser l'unité nationale qui, si elle unit l'Etat, divise le peuple et donnera un vernis démocratique à la xénophobie islamophobe ambiante.

Le processus qui s'ouvre est potentiellement explosif et, dans l'ombre, les éternels islamophobes qui crient à la guerre civile parce qu'au fond, ils la souhaitent, se frottent les mains. Le discours de Hollande à propos de la mort épouvantable de Hervé Gourdel va dans le sens de ces apprentis-sorciers. Cliquer ici

[A notre avis]

Ce billet d'Yvan Najiels est un contre-feu utile face à la déferlante de "l'union nationale" (allant, entre autres, des salariés aux patrons !) qu'il serait nécessaire d'opposer à la barbarie islamiste. Comme l'indique Yvan d'entrée de jeu, il y a bien crime et barbarie et il est incontournable de les dénoncer et de marquer ainsi que nous défendons des options politiques qui récusent ces horreurs et aberrations. Mais il est bien rappelé dans ces lignes que nous publions que l'on ne saurait céder à ce qu'implique d'inacceptable l'appel à faire bloc national contre la barbarie au nom de "notre" extériorité par rapport à celle-ci : car la barbarie est là, c'est-à-dire ici, de ce côté-ci de la frontière que l'on trace entre eux et nous, entre les "civilisés" et les autres, les barbares. Nous n'écrasons certes pas les différences si évidentes : ni Valls, ni Hollande (les yeux rivés sur les sondages), ni Fillon ni les ténors de l'UMP, n'ont décapité personne ! Mais il y a une barbarie, Yvan a raison de s'y arrêter, à qui ces preux "civilisés" ont apporté sans sourciller leur soutien : celle de l'Etat d'Israël qui, cet été, a bombardé jusqu'à plus soif la population de Gaza. Comment tenir pour négligeable que Hollande, Valls et tant d'autres contempteurs de la barbarie islamiste ont légitimé qu'un Etat terroriste, si proche géographiquement de l'aire d'action de cet EI dont se réclament les assassins d'Hervé Gourdel, puisse massacrer des civils ? Des civils que, par ailleurs, depuis des mois, ils soumettaient à un blocus dramatique... L'indignation d'aujourd'hui est hémiplégique : elle "oublie" que le sionisme est une barbarie... Seulement plus sophistiquée, technologique, moderne, et pour cause, que le frère ennemi islamiste adepte du sinistre et primaire couteau décapiteur !

Et le cas de Gaza n'est que l'exemple le plus symbolique d'une longue histoire participant de "notre" présent "civilisé". Il y a un autre aspect disqualifiant l'humanisme à géométrie variable auquel on voudrait nous faire adhérer : la pose vertueusement horrifiée adoptée par le gouvernement s'inscrit dans la logique de domination et d'exploitation de ces pays d'où l'islamisme terroriste (au sens de pratiquant la terreur) tire une crédibilité humainement et politiquement désastreuse. D'autant plus désastreuse qu'elle prospère sur un affaiblissement des forces de gauche et laïques auquel les puissances impérialistes ont largement contribué. N'oublions pas enfin  que les ennemis du jour, les "civilisés" et les "barbares", jouent la même partition d'une paradoxale complicité dans l'alimentation d'une islamophobie galopante qui prend pour argent comptant que "l'islam c'est ça" ! Et qui, de ce côté-ci du front, légitime les restrictions aux libertés supposées contrer les ennemis de la liberté (lire ici)!

Terminons en mentionnant notre accord avec Yvan sur la nécessité incontournable de couper l'herbe sous les pieds de notre impérialisme en luttant contre son intervention militaire en Irak et en Syrie. Celle-ci, chronique d'un échec annoncé, comme l'ont été les interventions américaines en Irak, ne favorise que trop ce qu'elle prétend combattre (lire ci-dessous). 

Antoine

PS : seule réserve sur le texte d'Yvan, ses commentaires sur Sadam Hussein et Bachar al Assad suggérant qu'il aurait été erroné, pour le premier, et qu'il serait erroné pour le second, de travailler à les faire tomber... Il y a là, en pointillé et mal assumée, l'idée, que nous récusons, qu'il faut réfléchir à deux fois avant de lutter contre un dictateur alors que c'est la population qui décide de se soulever et qu'il y a donc pour les partis, en tout cas pour ceux qui se réclament de la révolution et de la démocratie, nécessité politique, voire morale, de s'inscrire, de toute façon, dans ce soulèvement. Dans les faits, en dehors d'une normale réflexion tactique sur le meilleur moment et la meilleure façon d'organiser la révolte, procéder autrement reviendrait à accepter la pérennisation dudit dictateur au pouvoir...  et "lâcher" son peuple ! En quelque sorte au nom d'un choix du moindre mal (!) qui, comme souvent, couvre le pire mal dont le terrorisme djihadiste n'a pas l'exclusivité.

Note : concernant les 25 % obtenus par le FN aux dernières élections européennes, lire Front National. "Hou, Manuel, fais-nous peur !"

Illustration : cliquer ici 


Daesh [EI] et tous ses avatars sont avant tout le produit de 13 ans de politique de « lutte contre le terrorisme » par les grandes puissances. D’Afghanistan en Irak, ce sont les peuples qui ont payé le prix fort, celui de la guerre des bombardements, de la destruction de toutes les infrastructures, des massacres collatéraux. Les interventions militaires des grandes puissances, dont la France, ne défendent pas les droits des peuples. Quand elles se retirent, les auteurs de la barbarie sont toujours là, voire renforcés et plus nombreux. Elles ne font que généraliser le chaos.  Cliquer ici 
A lire aussi

À l’heure où l’avancée de l’État Islamique(EI)/Daesh soulève chaque jour un peu plus l’horreur, il faut le redire : les atrocités qui se multiplient au Moyen-Orient ne sont pas des tragédies s’inscrivant contre la « bonne volonté » de grandes puissances comme les USA et la France. Elles sont en très grande part un produit de leur interventionnisme constant, de leur concurrence entre elles, de leur soutien aux dictatures et au colonialisme, au nom de la maximisation de leurs intérêts à court terme.

Ainsi, la solennelle « déclaration de guerre aux djihadistes de l’État islamique » de Hollande n’est qu’un enfumage de plus pour tenter de redresser une crédibilité personnelle en perdition. Mais au-delà d’une opération de communication, il y a de vrais intérêts économiques et stratégiques derrière, et il y a lieu de s’inquiéter de cette nouvelle aventure guerrière, après celle du Mali, dont le versant intérieur est une panoplie de mesures liberticides – la quinzième en vingt-cinq ans ! Cliquer ici
 

Et aussi


 Alors que s'intensifie la guerre contre l'État islamique, nous avons interrogé l’historien militaire et ex-officier américain Andrew Bacevich. Il se montre très critique vis-à-vis de cette approche essentiellement militaire de la lutte contre l'organisation djihadiste. Et il s'inquiète d'un interventionnisme contre-productif qui depuis vingt ans accumule les échecs. […]

Ce que l’on observe aujourd’hui, ce n’est donc pas une nouvelle guerre [en Irak]. C’est la nouvelle phase d’une guerre qui dure depuis 1991 et le déclenchement de l’opération Tempête du désert contre Saddam Hussein. (Saddam Hussein ordonne l’invasion du Koweït en août 1990, comptant ainsi mettre la main sur les réserves pétrolières de l’émirat. En réaction, une coalition internationale est mise en place à l’initiative des États-Unis et une résolution onusienne est adoptée, prévoyant le recours à des « moyens nécessaires » si Saddam Hussein persiste. La coalition attaque l’Irak à partir de janvier 1991 : c’est l’opération Desert Storm - ndlr.) […]

L’un des principaux artisans de la réévaluation de la présence militaire américaine [dans le Golfe et au Moyen Orient] n’est autre que Paul Wolfowitz, alors un obscur haut fonctionnaire du Pentagone (qui deviendra secrétaire adjoint à la Défense sous George Bush et sous George W. Bush). Dans un rapport rédigé cette même année 1979, il identifie deux menaces à la stabilité du golfe Persique et par ricochet à la stabilité des réserves pétrolières mondiales : les Soviétiques et l’Irak, qu’il considère comme étant la principale puissance militaire de la région. […]

Objectivement, en observant le résultat de l’interventionnisme américain dans la région depuis 2001, et même depuis 1990, on ne peut pas dire que ce soit très positif. Nous avons dépensé des millions, il y eut beaucoup de morts. Si l’objectif était de ramener la paix, de diffuser la démocratie, de défendre les droits de l’homme, ou de donner une image plus positive des États-Unis dans la région, eh bien, rien de tout cela n’a été atteint. Il semblerait donc logique de s’y prendre autrement. Mais nous n’y arrivons pas, nous restons crispés autour de cette notion que nous sommes un État spécial, se devant d’intervenir. […]

Le danger de cette posture interventionniste est toujours le même : qu’elle soit vue comme impérialiste, au sens où il s’agit de décider du sort des autres à leur place. Soyons clairs, l’islam radical est un problème pour l’Occident, pour les États-Unis, mais je ne vois pas en quoi une intervention militaire contre l’EI va diminuer ce problème. De quelles solutions dispose-t-on, me demanderez-vous ? Je ne sais pas, peut-être même que nous n’en avons pas. Mais le recours à la force ne fait qu’empirer la situation. Il renforce la perception selon laquelle nous sommes engagés dans une entreprise impérialiste. Des civils sont tués, car c’est tout bonnement inévitable. Et le camp adverse se nourrit de tout cela, dépeignant les États-Unis et ses alliés en des termes négatifs.

[Barack Obama] a retenu la leçon post-11 Septembre : envahir un pays ne fonctionne pas. C’est pour cette raison qu’il insiste autant sur le fait qu’il n’enverra pas de troupes américaines au sol. Les sondages indiquent que les Américains ne le souhaitent pas. Dans les faits, cela se traduit donc par cette stratégie consistant à soutenir par des moyens aériens une campagne militaire assurée par d’autres au sol. Je doute que cela fonctionne, mais c’est ce sur quoi il mise. […]

De manière générale, les pays de la région vont devoir s’investir pour assurer leur développement, leur sécurité, leur stabilité, il n’y a pas d’autre choix [1]. Mais c’est un cercle vicieux, tant que les États-Unis sont prêts à s’investir, ne serait-ce qu’en gardant ce niveau de dépenses militaires leur permettant d’intervenir rapidement n’importe où, les autres nations auront tendance à rester en arrière-plan.

[1] Note du blog NPA 34 : l'auteur, aux remarques au demeurant intéressantes, ne raisonne jamais du point de vue du rôle des peuples dans les processus politiques et sociaux dans une région pourtant largement caractérisée par leur mobilisation largement inédite.


L'article complet est à retrouver sur Mediapart, il est accessible aux seuls abonnés.

Et encore

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Et encore (bis)

 Les jeux de (dés)équilibres du Front de Gauche...

 Dénonçant un "French patriot act" - en référence à l'ensemble de lois sécuritaires adoptées aux Etats-Unis dans la foulée des attentats du 11-Septembre -, le PCF a pointé dans un communiqué une loi qui restreint "les droits fondamentaux, les libertés publiques" pour "finalement de rogner un peu plus sur la démocratie". […]

Pourtant, les députés Front de gauche ont voté en faveur de ce projet de loi en première lecture, le jugeant, malgré quelques imperfections, "équilibré". Il "concilie efficacité des mesures et respect des principes de droit", avait alors défendu dans l'Hémicycle l'élu du groupe Marc Dolez.

Il faut le voir comme "un vote de groupe", a justifié auprès de l'AFP le député François Asensi, qui a suivi à contrecoeur la majorité des élus de son groupe. "Sept députés sur dix y étaient favorables", mais "le PCF a raison" de dénoncer ce texte, a-t-il soutenu, persuadé que le groupe communiste votera "non" au Sénat, lors du débat prévu pour la mi-octobre.  Cliquer ici


Le Parti de Gauche  déplore le vote favorable des député-e-s du groupe Front de Gauche sur ce texte et appelle les sénatrices et sénateurs Front de Gauche à voter contre.

Nous comptons sur nos représentant-e-s au Sénat pour rappeler, deux siècles après Benjamin Franklin qu’"Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une, ni l’autre, et finit par perdre les deux". Cliquer ici
déplore le vote favorable des député-e-s du groupe Front de Gauche sur ce texte et appelle les sénatrices et sénateurs Front de Gauche à voter contre.
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