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Luttes des pilotes d'Air France, des femmes de chambre de l'hôtel de luxe Park Hyatt, des hospitaliers, des intermittents et précaires... dans la foulée des cheminots et postiers : les points d'appui pour construire une mobilisation d'ensemble existent !
Lorsque fin août, Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT, présentait le programme de rentrée des initiatives de la confédération, le 16 octobre n’était qu’une date plantée entre la mobilisation des retraitéEs du mardi 30 septembre et une vague « journée nationale d’action interprofessionnelle début 2015 sur les thématiques salaires, industrie et service public dont les formes sont à travailler »...
Le
16 octobre était alors présenté comme « une initiative nationale
coordonnée sur les questions de santé et de Sécurité sociale… en amont
de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale par
l’assemblée nationale » qui « pourrait prendre la forme d’un
rassemblement national autour des salariés de la santé, des organismes
sociaux et des territoires proches de l’Île-de-France, associée à une
implication territoriale forte, sous des formes diversifiées ». Cliquer ici
Des adversaires à l’offensive
Le gouvernement, pourtant totalement discrédité, n’hésite pas à amplifier sa politique guerrière en Irak et en Afrique, à multiplier les mesures anti-sociales. Valls s’aligne sur les plus réactionnaires tout en jouant les gros bras face aux grévistes. Et pour faire bonne mesure, le pouvoir multiplie la répression contre les militantEs, l’interdiction de manifestation ou de réunions publiques. Pleinement écouté, le MEDEF de multiplie ses exigences (suppression de jours fériés, du SMIC, des 35 heures, du CDI...). Encouragés par les renoncements du pouvoir, les mouvements réactionnaires renouvellent leur démonstration de force dans la rue. L’extrême-droite politique profite du dégoût, du rejet de ces politiques et des partis qui les mettent en œuvre. Cliquer ici
NPA 34, NPA
Des adversaires à l’offensive
Le gouvernement, pourtant totalement discrédité, n’hésite pas à amplifier sa politique guerrière en Irak et en Afrique, à multiplier les mesures anti-sociales. Valls s’aligne sur les plus réactionnaires tout en jouant les gros bras face aux grévistes. Et pour faire bonne mesure, le pouvoir multiplie la répression contre les militantEs, l’interdiction de manifestation ou de réunions publiques. Pleinement écouté, le MEDEF de multiplie ses exigences (suppression de jours fériés, du SMIC, des 35 heures, du CDI...). Encouragés par les renoncements du pouvoir, les mouvements réactionnaires renouvellent leur démonstration de force dans la rue. L’extrême-droite politique profite du dégoût, du rejet de ces politiques et des partis qui les mettent en œuvre. Cliquer ici
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