Contre-infos et revue de presse en continu
Avertissement : nous ne partageons pas nécessairement le point de vue exprimé dans tout ou partie des articles auxquels nous renvoyons ci-dessous. (le blog du NPA 34)
28 décembre
De nombreuses ZAD ont essaimé partout en France : dans le Tarn contre un
barrage destiné à l’irrigation, dans l’Isère contre un village de
vacances, dans le Rhône contre le Grand Stade de l’Olympique lyonnais,
pour les plus emblématiques. Des foyers de résistance de taille plus modeste se montent à travers le
territoire, pour des durées variables. A Bure, dans la Meuse, des
militants antinucléaires ont ouvert une «maison de résistance» face à un
projet de centre d’enfouissement de déchets radioactifs. La méthode a
prouvé son efficacité pour paralyser ces «grands projets inutiles et
imposés», honnis des zadistes.
Si bien qu’une zone à défendre «légale» a
vu le jour récemment, du côté d’Agen, sur le terrain d’un paysan
retraité qui a appelé le réseau à la rescousse pour combattre un plan de
zone d’activité à côté d’une future ligne à grande vitesse. Cliquer ici
21 décembre
Quand il y a eu l’appel à manifester, j’ai vite décidé de m’y joindre.
J’ai trouvé sur la ZAD la vie en collectivité, l’entraide, le soutien à
une lutte. J’ai appris à construire des cabanes, à grimper dans les
arbres, à faire des fours en terre cuite, à me protéger, par exemple
avec du citron contre les lacrymogènes, à communiquer, à filmer... Pour
la suite, je pense qu’il sera nécessaire d’aller s’installer sur le site
des travaux, car c’est la forêt qu’on protège [la maison forestière
squattée n’est pas sur la zone des travaux, NDLR]. Pour l’instant, tout
reste pacifique, j’ai envie que ça demeure.» Cliquer ici
"Ben Laden vit à la ZAD" ?
Cliquer ici
Sur le même sujet
Naissance d'une ZAD «légale» dans le Lot-et-Garonne
A Notre-Dame-des-Landes, on rêve d'une «commune libre de la ZAD»
9 décembre
Mort de Rémi : grenades offensives, "en cloche ou à ras de terre ?
Cliquer ici
5 décembre
Danger, police ! Allo, les fachos, ici la gendarmerie, vous avez des tuyaux ?
Pour justifier ces remarques, le rapport
mentionne en bas de page sa source qui n’est autre que TV Libertés, une
chaîne d’info sur le Web proche de la « fachosphère ». Cliquer ici
Maintien de l’ordre : même sans grenades, il reste de quoi faire (cliquer ici)
Après l’agitation médiatique et politique sur l’impunité policière
outre-Atlantique, des élus, des universitaires et des acteurs
associatifs rappellent qu'on « recense en moyenne un mort par mois des suites d’un contrôle d’identité ou d’une interpellation policière » en France. « Aujourd’hui
plus qu’hier, nous nous demandons si ceux qui ont partagé notre colère
et notre détermination deviennent sourds, muets et immobiles lorsqu’ils
atteignent les plus hauts sommets du pouvoir. » Cliquer ici
Cliquer iciLa police n'aime pas notre camarade Olivier, étonnant, non ?
4 décembre
Une baffe européenne au projet de barrage...... Mais la lutte continue ! Rien n'est encore acquis !
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3 décembre
Rémi : les gendarmes enterrent leur responsabilité dans sa mort !
ANALYSE Malgré la
mort de Rémi Fraisse, les forces de l'ordre ont agi «avec
professionnalisme et retenue», selon un rapport de la gendarmerie, qui
dénonce la «radicalisation» des activistes. Une analyse discutable. Cliquer ici
«Pas de faute» des gendarmes dans la mort de Rémi Fraisse
26 novembre
"La détérioration de l’état écologique de la masse d’eau" provoque des remous à Bruxelles !
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Et aussi : Barrage de Sivens : Bruxelles s’invite dans le match
Barrage de Sivens : pourquoi Bruxelles ouvre une procédure d'infraction
Cliquer ici
25 novembre
Mort de Rémi Fraisse. Si le politique parvient à en rester à un simple rapport administratif, il aura gagné !
Rémi Fraisse est le premier mort en manifestation sous un gouvernement de gauche sous la Ve République. Comment en est-on arrivé là, et que nous dit ce drame sur les conditions du maintien de l’ordre en France ? Pour Fabien Jobard, politiste, spécialiste de la police, seule une commission parlementaire permettrait de tirer toutes les conséquences politiques de cet événement. Cliquer ici
23 novembre
Sivens. Piratage informatique contre les promoteurs du barrage !
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21 novembre
Et hop, une plainte de France Nature Environnement...
Menace européenne sur le projet de barrage ?
Outre la destruction d’une zone humide qui abritait quelque 90 espèces
protégées, les opposants au projet font valoir que celui-ci entraînerait
une augmentation des surfaces agricoles irriguées. Or la politique
européenne en matière agricole écarte le financement de ce type de
projets. Cliquer ici
16 novembre
Socialistes au gouvernement, police partout...
Rémi tué, Cazeneuve continue à lâcher sa meute...
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15 novembre
Un témoignage qui rime avec enfumage...
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14 novembre
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13 novembre
Flic, sous l'uniforme, tu n'es pas des nôtres... c'est un des tiens qui a tué Rémi !
«C’est malheureux qu’il soit mort, mais ça me fait quand même moins de peine que ça soit lui qu’un collègue.» Cliquer ici
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12 novembre
« Il est décédé, le mec ! Là, c'est vachement grave… Faut pas qu'ils le sachent ! »
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Quand la police prend des libertés, c'est notre liberté (parfois notre vie) qu'elle prend !
Engels disait de l’État qu’il était « un produit de la société, (...)
l’aveu que cette dernière s’empêtre dans une insoluble contradiction
avec elle-même ». Effectivement, la contradiction nous est posée : d’un
côté, le pouvoir aux rênes de cet État bat des records d’impopularité,
et de l’autre, il abat son bras de façon de plus en plus violente sur
celles et ceux qui le conteste, cela dans une certaine passivité
générale. Cet État s’empêtre dans le mensonge et bâillonne, empêchant la
contestation de sa politique par des interdictions à manifester ou par
une répression féroce. Cliquer ici
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Les provocations du gouvernement et de la police contre le droit de manifester continuent...l'impunité des responsables de la mort de Rémi aussi !
11 novembre
"Lancer une grenade offensive sur des civils n'est pas un acte de policier ou de gendarme. C'est un travail de tueur. Ceux qui prétendent le contraire confondent l'administration et la mafia." Cliquer ici
10 novembre
Plateau de Millevaches : des manifestants enferment des gendarmes dans leur caserne (vidéo)
Cliquer ici
9 novembre
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Message assez étrange adressé à la population : «Il est vrai que les gens chargés de votre sécurité peuvent porter atteinte à votre intégrité physique et même, vous ôter la vie, ou l’ôter à votre enfant ou à l’un de vos proches. Mais cela ne veut pas dire qu’ils commettent ce faisant une erreur. Sachez en tout cas que vous n’êtes pas les mieux placés pour savoir s’ils en commettent vraiment une» Cliquer ici
Témoignage lu sur Mediapart
Aujourd'hui, 8 novembre, j'ai participé à la
manif à Toulouse contre le barrage de Sivens et contre les violences
policières et le meurtre de rémi Fraisse.
A chaud, quelques faits pour dire mon vécu et peut-être permettre une analyse.
- Dêpot de manif par le NPA 31. Elle est interdite par le préfet, Plainte en référé-liberté auprès du tribunal administratif. Aucun retour de celui-ci.
- Au rassemblement de manif, comme le TA n'a rien répondu sur le bien fondé de l'interdiction, et en réponse à la demande des organisateurs, la préfecture autorise la manifestation sur un parcours différent , évitant le centre ville.
- La manif se déroule avec un millier de participants , étudiants, zadistes, un seul parti politique, le NPA 31, alors que de nombreuses organisations politiques, syndicales et associatives ont appelé à la manif de Paris au même moment. Où étaient-elles passées à Toulouse ?
- La manif se déroule dans le calme sans aucune provocation envers
les forces de l'ordre très nombreuses et présentes sur les lieux (CRS +
policiers en civil avec équipements de "casseurs")
- Au moment de la dispersion, les CRS bloquent les deux côtés, au lieu de laisser se disperser les manifestants.
- Après un long statu-quo d'environ une heure, les manifestants
peuvent trouver une issue, sans qu'aucune négociation avec un
responsable policier ait pu être possible.
Après, grand film à l'américaine avec hélicoptère tournant autour du
centre ville, rues quadrillées et policiers "'civils-casseurs"
simulant d'abord des attaques de masqués vers des CRS ripostant avec
des flash-balls , puis jouant à attraper quelques "jeunes" pour faire
des interpellations (une vingtaine semble-t-il).
- Et, pour ajouter au simulacre de désordre pour la population,
décision préfectorale de bloquer le fonctionnement de tous les
transports métro et bus à partir de 18h !
Tout cela est d'une nullité crasse. Ce pouvoir est aux abois, et fait
n'importe quoi pour faire croire qu'il contrôle la situation.
A nous d'imposer notre alternative sociale, écologique et politique. Une condition nécessaire est d'être ensemble dans la rue.....Rendez-vous au 15 novembre
8 novembre
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Quelque 300 personnes défilent contre le
projet de barrage et «les violences policières», malgré un arrêté
interdisant le mouvement.
[…] Au sein du groupe également, quelques drapeaux du NPA (Nouveau parti anticapitaliste) 31, qui avait appelé à la manifestation et tenté vendredi à minuit un recours en «référé-liberté» auprès du tribunal administratif. Leur avocat, Julien Brel, qui a jugé «cet arrêté assez exceptionnel», a indiqué à l’AFP que ce référé avait finalement été pris en compte dans la matinée, mais en milieu d’après-midi aucune décision n’avait été annoncée. Cliquer ici
[…] Au sein du groupe également, quelques drapeaux du NPA (Nouveau parti anticapitaliste) 31, qui avait appelé à la manifestation et tenté vendredi à minuit un recours en «référé-liberté» auprès du tribunal administratif. Leur avocat, Julien Brel, qui a jugé «cet arrêté assez exceptionnel», a indiqué à l’AFP que ce référé avait finalement été pris en compte dans la matinée, mais en milieu d’après-midi aucune décision n’avait été annoncée. Cliquer ici
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La gendarmerie a utilisé une arme de guerre. Cazeneuve savait, Cazeneuve doit démissionner !
Après la mort de Rémi Fraisse...
Vidéo Mediapart : cliquer ici
6 novembre
[Le] chef J. lance cette grenade-là en l’air, et directement sur un petit
groupe de quatre à cinq jeunes dont fait partie Rémi Fraisse et qui leur
lançait des pierres et des mottes de terre. Équipés de jumelles à
vision nocturne, plusieurs gendarmes reconnaîtront avoir vu tomber le
jeune homme tout de suite après l’explosion, et avoir compris
immédiatement ce qui venait de se passer, selon des sources proches du
dossier. […] Ce dimanche 26 octobre, l'État sait déjà tout ou presque du drame, mais va choisir de feindre l'ignorance et de minimiser pendant 48 heures. […] En clair, le jeune homme a eu une partie de la colonne vertébrale et de
la moelle épinière arrachées par l’explosion, et il est très
certainement mort sur le coup. […]
À la lumière du décès de Rémi Fraisse, ces grenades offensives ne
peuvent apparaître que pour ce qu’elles sont : des armes de guerre
pouvant provoquer des blessures fatales. Cliquer ici
On peut lire aussi cet article sur le site d'ESSF : cliquer ici
On peut lire aussi cet article sur le site d'ESSF : cliquer ici
Cliquer ici
Rémi Fraisse. Casseurs, casseurs ... Qui a "cassé" Rémi ? Qui se cagoule pour casser les manifs ?
La politique du gouvernement Hollande-Valls suscite un désaveu toujours plus profond. Pour empêcher que la colère ne se transforme en mobilisations, il met préventivement en œuvre la seule politique qui lui reste : la répression. Les prétendues bavures ne sont que la conséquence inévitable de l’utilisation de la force contre celles et ceux qui refusent les politiques patronales et gouvernementales. Rémi Fraisse, manifestant contre l’inutile, le nuisible barrage de Sivens, est la victime non d’une bavure mais d’une politique cohérente. Cliquer ici
Après l’assassinat de Rémi dans la nuit du samedi 25 octobre et les
premières manifestations de colère dimanche et lundi, le Tarn a vécu une
semaine dense de mobilisations et de répression toujours plus vives de
la part des « forces du désordre »... Cliquer ici
Rémi Fraisse, on n'oublie pas... Cazeneuve démission !
La police des "socialistes" en action...
Cliquer ici
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3 novembre
La lettre qui suit est adressée par Farid El Yamni, frère de Wissam -
assassiné par la police le 1er janvier 2012 - à la mère de Rémi Fraisse.
Il a voulu qu’elle soit rendue publique, mais elle sera également
envoyée dés que possible à l’adresse des parents de Rémi Fraisse. Cliquer ici
Cliquer ici
INTERVIEW Claire
Dujardin, avocate de nombreux zadistes opposés au projet de barrage,
explique qu'une vingtaine de plaintes ont été déposées pour des
violences policières. Cliquer ici
2 novembre
Cliquer ici
Infos suivies de Libération. Cliquer ici
Lorsque la violence n’est plus légitime, lorsque l’on utilise des armes
de guerre non pas contre un autre Etat belligérant, mais contre sa
propre population, lorsque l’Etat tue ceux qu’il est sensé protéger,
alors la question de l’Etat, de son fonctionnement, de ses intérêts et
de ses représentants doit inéluctablement être posée. Cliquer ici
1er novembre
Montpellier. Plus de 300 personnes dans la rue...
Correspondance NPA 34
Après un face à face, sans heurt et de courte durée, avec un cordon de
forces de l'ordre, les différents mouvements ont pris la parole, puis la
manifestation s'est dispersée dans le calme. (Midi Libre)
Cliquer sur la première image pour agrandir et faire défiler le diaporama
L'intervention lue à cette manif au nom du NPA 34
Nous exprimons notre solidarité à la famille et aux proches de Remi Fraisse, jeune militant écologiste de 21 ans, victime de l'explosion d'une grenade offensive dans le dos.
La mort de Remi n'est pas une bavure, encore moins un accident. J'étais à Sivens le week-end dernier et tous les militants présents disaient que ce drame était prévisible, que quelque chose de grave allait se passer, au vu de la concentration des forces de l’ordre et de la multiplication des violences policières. Et le président du Conseil Général du Tarn disait que les militants devaient assumer les conséquences de leurs actions. Le Conseil Général du Tarn et le gouvernement voulaient passer en force en accélérant les procédures, en déboisant vite, sachant pertinemment que le rapport d'expertise ne serait pas favorable, tout cela pour ne pas qu'il y ait un enlisement comme à NDDL.
Le gouvernement n'a plus que la répression des mouvements sociaux pour imposer sa politique antisociale et anti environnementale: répression des syndicalistes de la Confédération Paysanne qui ont occupé la ferme usine des 1000 vaches, répression des sans papiers, des militants et ici, à Montpellier, des résidents de Luttopia.
Cazeneuve, chef de la police, ministre de l'intérieur, porte en premier la responsabilité de la mort de Remi. Il doit démissionner et une commission d'enquête indépendante, contrôlée par les organisations du mouvement social, doit établir les responsabilités dans la mort de Remi. Plus largement, c'est l'ensemble du gouvernement qu'il faut sanctionner, dans la rue.
Nous sommes aujourd’hui en deuil mais nous devons rester déterminés dans nos engagements :
engagement pour une agriculture écologique et non productiviste,
engagement pour soutenir les luttes légitimes contre les projets inutiles, quels qu'ils soient, et contre le nucléaire,
engagement aux côtés de tous les militants, de tous les zadistes, sans nous laisser diviser, sans laisser les médias, à la solde du pouvoir, décider quels seraient les bons et les mauvais militants,
engagement enfin pour nous tourner vers l'avenir et inventer de nouveaux modèles de société solidaires et écologistes.
Anne Pruvost Freiss, le 1er novembre 2014
Coup de gueule ...
Pour Rémi : Ni oubli, ni pardon !
Une semaine que ça dure et que ça me fout la gerbe.
Ne nous laissons pas abuser, ne nous laissons pas diviser !
Pour Rémi : Ni oubli, ni pardon !
Une semaine que ça dure et que ça me fout la gerbe.
Ne nous laissons pas abuser, ne nous laissons pas diviser !
Au Testet Il y aurait alors des bon-nes manifestant-es et des mauvais-es ?
Des pacifiques et des violent-es !...Refusons de nous laisser attribuer les bons et les mauvais points
par les médias bourgeois, chiens de garde du capitalisme, ni par ce gouvernenment, ni par les
organisations qui hier encore le soutenaient ou y participaient et tentent aujourd'hui de nous faire
oublier cette collaboration. Nous ne sommes pas dupes, nous serons vigilant-es.
par les médias bourgeois, chiens de garde du capitalisme, ni par ce gouvernenment, ni par les
organisations qui hier encore le soutenaient ou y participaient et tentent aujourd'hui de nous faire
oublier cette collaboration. Nous ne sommes pas dupes, nous serons vigilant-es.
Notre solidarité est entière pour les militant-es de la ZAD contre les violences policières, contre la
violence d'Etat, contre tous les projets inutiles qui nous sont imposés par la force. Elle est là la
violence. Elle est dans le camp de celles et ceux qui acceptent les plans sociaux, qui acceptent la
casse des services publics, des acquis sociaux et du code du travail, au nom de la productivité et de
la compétitivité... Elle est dans le camp des capitalistes et des productivistes. Elle est dans le camp de
ceux qui refusent la main tendue aux réfugiés qu'ils soient poiltiques, économiques ou climatiques,
criminalisant ainsi les damnés de la terre.
violence d'Etat, contre tous les projets inutiles qui nous sont imposés par la force. Elle est là la
violence. Elle est dans le camp de celles et ceux qui acceptent les plans sociaux, qui acceptent la
casse des services publics, des acquis sociaux et du code du travail, au nom de la productivité et de
la compétitivité... Elle est dans le camp des capitalistes et des productivistes. Elle est dans le camp de
ceux qui refusent la main tendue aux réfugiés qu'ils soient poiltiques, économiques ou climatiques,
criminalisant ainsi les damnés de la terre.
La violence est dans le camp de ce gouvernement, de celles et ceux qui se reconnaissent dans cette
majorité qui continue de criminaliser les militant-es, de criminaliser celles et ceux qui tentent de
s'élever contre l'ordre néolibéral.
majorité qui continue de criminaliser les militant-es, de criminaliser celles et ceux qui tentent de
s'élever contre l'ordre néolibéral.
Alors pour Rémi, pour tous-toutes les militant-es mobilisé-es au Testet, pour celles et ceux qui
continuent de penser qu'un autre monde est possible, ne les laissons pas faire, unité dans le
combat, solidarité sans conditions.
Gégé
continuent de penser qu'un autre monde est possible, ne les laissons pas faire, unité dans le
combat, solidarité sans conditions.
Gégé
Contre-info sur la manif de Nantes...
Je rentre de la manif à Nantes en hommage à Rémi. Comme ce que racontent
les médias ne correspond pas à ce que j’ai pu voir, je vais essayer de
vous raconter ce qu’on a vécu. Cliquer ici
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