« Quel que soit le nombre d’actionnaires et la hauteur de leur
investissement, le principe d’une Scop c’est : un actionnaire, une voix »
Le cinéma vient de changer de statut pour devenir
une société coopérative. Ils sont trois sur quatre à s'être lancés dans
l’aventure.
Jusque là, l’actionnaire majoritaire était la maison mère, basée à Toulouse. « C’est elle qui, en réfléchissant à la transmission de son entreprise, a imaginé que la façon la plus intelligente de faire perdurer ce qu’elle a créé depuis une quarantaine d’années était la forme coopérative. Autrement dit, remettre entre les mains des gens qui font vivre ces cinémas leur outil de travail et la philosophie de création », détaille Arnaud Clappier.
Une « vision » valable pour les cinq entités Utopia* qui existent en France, lesquelles « vont devenir des sociétés coopératives les unes après les autres, pour maîtriser leur destin ». Cliquer ici
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