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SNCF Des pépins pour Pépy


200 CHEMINOT-ES ACCUEILLENT À MONTPELLIER
Guillaume PÉPY, PRÉSIDENT DE LA SNCF.

Président de la SNCF depuis 2008, c'est lui le maître d’œuvre de la réforme contre laquelle se sont fortement mobilisés les cheminots en juin 2014. Depuis, les revendications restent les mêmes :
"La déclinaison régionale de la réforme se traduit par des fermetures de guichets, de gares, la mise en place de l’EAS ou ANS (Equipement Agent Seul /Accompagnement Non Systématique), la transformation de TER en bus et des fortes menaces sur les lignes dites secondaires et les Trains d’Equilibre du Territoire (TET).Pour les cheminots du Languedoc Roussillon cela se traduit par une dégradation des conditions de vie et de travail, 107 suppressions d’emplois sur la région en 2014 au lieu des 9 budgétées et une réduction drastique des promotions pour l’exercice de notations 2015/2016." (Cgt Cheminots Nîmes)
Toujours la même rengaine, que ce soit à La Poste ou à Radio-France :
TOUJOURS MOINS POUR LE SERVICE PUBLIC, TOUJOURS MOINS POUR LES SALARIÉ-ES !
Les cheminots n'étaient d'ailleurs pas les seuls à se mobiliser : un comité d'usagers des Hautes Cévennes était présent, qui par la lutte a réussi à sauver la gare de Génolhac.
Devant l'impossibilité de rencontrer le président à l'endroit du rassemblement (devant la Préfecture de Montpellier), tout le monde s'est rendu à Arena (Parc des Expositions de Montpellier), où Monsieur Pépy était attendu pour une réunion. Là, il lui a fallu s'expliquer devant les cheminot-es en colère. Ses explications n'ont guère convaincu, puisqu'il est parti sous les huées.






















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