...mais BDS 34 toujours mobilisé aux côtés des Palestinien-nes ! Israël boycott !
Samedi 13 juin le comité BDS France a mené une action contre l’agence
centrale d’Orange Montpellier et un second magasin Orange. Nous pensons
en effet, que c’est maintenant qu’il faut presser Orange de rompre son
contrat avec Partnair Communications.
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Et aussi
Si
l’appel BDS se singularise dans l’histoire de la résistance
« populaire » en ceci qu’il est avant tout à destination d’acteurs
extérieurs, il fait néanmoins preuve d’un remarquable continuité
politique avec l’histoire de la lutte palestinienne. Il réaffirme en
effet la nécessité d’une jonction entre pression intérieure et
extérieure sur l’État d’Israël et, tout en valorisant le caractère
non-violent de la stratégie BDS, ne porte aucun jugement dépréciatif sur
le recours à la lutte armée, qu’il soit passé, présent ou à venir. Le
soutien de l’ensemble des organisations politiques palestiniennes à
l’appel, y compris celles qui n’ont jamais renoncé formellement à la
lutte armée, et continuent parfois de la pratiquer, confirme que
l’opposition irréductible entre « violence » et « non-violence » n’a pas
de pertinence dans le cas palestinien et ne trouve guère d’écho chez
les acteurs du mouvement national. Les vives critiques formulées contre
la campagne BDS, souvent par ceux-là même qui exigeaient des
Palestiniens qu’ils « arrêtent les violences », sont la démonstration,
en miroir, que cette rhétorique en vogue au début des années 2000 était
en réalité une critique à peine dissimulée de la résistance
palestinienne dans son ensemble. L’appel BDS rappelle ainsi à chacun que
la dénonciation de « la » violence, décontextualisée et dépolitisée,
dissimule mal les indépassables contradictions d’une approche dite
« équilibrée » mais qui tente en réalité de concilier justice et
injustice, droit et non-droit, oppression et émancipation. Cliquer ici
Et encore
Nos dossiers international, Palestine
BDS 34, été 2014... Respect !
«Je regarde avec mes jumelles, le type sur le toit doit avoir 25 ans.
Il n’est pas armé. On communique cette info à notre commandant qui nous
ordonne, malgré tout de le tuer. Pourtant, nous pouvions l’arrêter. Des
cas comme celui-ci, nous en avons vécu des dizaines.»
NPA 34, NPA