"On était des moutons, on s'est transformés en lions !" (Xavier Mathieu)
"Manuel Valls à Davos. Qu'il y reste, c'est sa place !"
La journée de mobilisation syndicale du mardi 26 janvier, la
manifestation contre l’état d’urgence et la déchéance de la nationalité
du samedi 30 janvier, doivent permettre d’unir les résistances sociales
et la lutte contre un pouvoir de plus en plus répressif contre les
salariéEs et de plus en plus guerrier contre les peuples.
Nous avons un président qui avait fait de la finance son ennemi... et a
placé au ministère de l’Économie un ancien de la banque Rothschild et
nommé comme Premier ministre celui qui a fait le moins de voix à la
primaire du PS et qui avait pu déclarer, déambulant dans une brocante, «Belle image de la ville d’Évry...», demandant à la personne qui l’accompagnait : « Tu me mets quelques Blancs, quelques white, quelques blancos »...
Quelle est ton analyse de la condamnation des huit ex salariés de Goodyear ?
Ce jugement s’inscrit dans la logique des poursuites contre ceux d’Air France, dans la logique de la politique répressive du gouvernement Hollande-Valls. En effet, c’est le parquet, c’est-à-dire l’État, qui a engagé les poursuites contre les syndicalistes de Goodyear. Dans le même contexte, nous, ceux de Conti, nous aurions été lourdement condamnés pour le saccage de la sous-préfecture. Cliquer ici
Aux principaux bénéficiaires, les patrons, Hollande a commencé par
annoncer la pérennisation de cadeaux anciens... et en sorti de nouveaux
de sa hotte. Il y a d’abord les cadeaux immédiats : pérennisation du
crédit impôt-recherche et transformation du crédit d’impôt lié au Pacte
de solidarité et de responsabilité (le paquet cadeau du CICE d’un
montant de 40 milliards) en « baisse définitive des charges sociales ».
Oublié le bilan des créations d’emplois !
Ensuite, une nouvelle prime de 2000 euros pour les PME de moins de 250 salariéEs qui embaucheront un jeune à un salaire de 1 à 1,3 SMIC en CDI ou en CDD de plus de 6 mois. Même les économistes les plus acritiques parlent de trappe à emplois favorisant le développement des bas salaires...Et pour lever les angoisses des patrons, confirmation du plafonnement des indemnités en cas de licenciement abusif. Cliquer ici
Ensuite, une nouvelle prime de 2000 euros pour les PME de moins de 250 salariéEs qui embaucheront un jeune à un salaire de 1 à 1,3 SMIC en CDI ou en CDD de plus de 6 mois. Même les économistes les plus acritiques parlent de trappe à emplois favorisant le développement des bas salaires...Et pour lever les angoisses des patrons, confirmation du plafonnement des indemnités en cas de licenciement abusif. Cliquer ici
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