... mais aussi grande manifestation à Montpellier !
Pour arracher le retrait de la loi travail et la chute du gouvernement Valls, qui lui a lié son sort en utilisant le 49-3, il faut encore pousser notre avantage, construire le rapport de force. Nous devons généraliser la grève, car les raffineurs et les cheminots ne peuvent pas battre pour tout le monde : tous les salariés doivent se mettre en mouvement.
Le gouvernement français compte bien utiliser l’Euro
2016 de football qui débutera ce vendredi 10 juin contre la
mobilisation. A nous d’utiliser cette exposition médiatique,
publicitaire et financière internationale pour donner plus d’écho au
mouvement et amplifier la crise politique.
Nous avons quelques jours pour préparer la manifestation nationale du mardi 14 juin à Paris comme un événement exceptionnel, une démonstration de force qui doit faire date. Cliquer ici
Mais il y a ça aussi, parmi des tas d'autres saloperies...
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NPA 34, NPA
Nous avons quelques jours pour préparer la manifestation nationale du mardi 14 juin à Paris comme un événement exceptionnel, une démonstration de force qui doit faire date. Cliquer ici
La manif de Montpellier
Sous la poignée de main...
Mais il y a ça aussi, parmi des tas d'autres saloperies...
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Entretien. Jeudi 9 juin, nous avons rencontré Baptiste Talbot,
secrétaire général de la CGT des services publics, à l’usine de
traitement et d’incinération des résidus urbains (TIRU) d’Ivry-sur-Seine
(94). Cette usine est en grève depuis lundi 30 mai (cf.
l'Anticapitaliste n°340).
Quelle est l'attitude des autres forces syndicales ?
Dans
le secteur, la CGT est largement majoritaire, mais des actions
unitaires ont lieu, notamment en Seine Saint-Denis, avec FO et
Solidaires, en Ariège... Il serait utile que FO s'engage davantage.
Les partis politiques sont globalement peu visibles…
Ils
sont présents aux manifs, le plus souvent avec des points fixes.
Philippe Poutou pour le NPA et Pierre Laurent et Didier Le Reste pour le
PCF sont venus ici. Pour notre part, dans la fédération, nous sommes
depuis longtemps favorables à la recherche de convergences dans les
mobilisations mais aussi pour les perspectives. Ce qui doit laisser la
maîtrise de la mobilisation aux organisations syndicales, sans empêcher
le soutien politique à ceux qui se battent.
Et la suite ?
Pour
ce 14 juin, c'est une grosse mobilisation qui s'organise. Mais nous
nous projetons plus loin, face à un gouvernement qui est minoritaire
mais déterminé. La lutte devra continuer après le 14, jusqu'au retrait
de la loi travail. Cliquer ici
Depuis bientôt un mois, il y a à la
SNCF de nombreux cheminotEs en grève qui participent quotidiennement aux
assemblées générales, ce qui fait un des mouvement les plus long qu’ait
connu l’entreprise. La grève se maintient avec des taux de grévistes
qui peuvent être très forts dans certains métiers, comme chez les
conducteurs (50 % voire plus). Cette fois-ci, la mobilisation est un peu
plus forte en Île-de-France qu’en province. Le mouvement combine une
radicalité et un ras-le-bol qui dépassent en partie la loi travail, et
dont on avait déjà pu apprécier l’étendue à l’automne, notamment par la
popularité suscitée par « l’affaire » de la chemise du DRH d’Air France.
C’est donc l’exaspération des politiques d’austérité qui s’exprime sur
des questions éminemment concrètes : nos conditions de travail et de
vie. Cliquer ici
Née dans le cadre des nuits debout parisiennes et militant
depuis plusieurs semaines contre la loi travail ainsi que dans les
luttes plus spécifiques au secteur social et médico-social, la
“commission action travail social” rassemble salarié-es, étudiant-e-s et
formateur-rice-s au sein d'un mouvement vecteur de mobilisation.
Au
cœur des contradictions du système capitaliste, le travail social
positionne ses travailleur-se-s en première ligne face à l’exclusion,
aux inégalités, au racisme et à la violence sociale qu'il génère et
amplifie. Réforme des diplômes (objectif : déqualification et
polyvalence), fin des conventions collectives, disparition progressive
des aides en direction des jeunes majeurs comme des services de
prévention spécialisée, investissements à impact social, etc.: le
travail social, soumis à des injonctions sécuritaires et à des logiques
gestionnaires, s’adapte à la société néolibérale pour mieux
l’accompagner. Cliquer ici
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C'était en 2014 mais l'idée est recyclable ! Hein, Macron, Valls, Hollande, etc. ?
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