14 juillet. Nice, on n'oublie pas.... Mais l'horreur, l'émotion ne peuvent pas faire oublier le reste...
... la mystification bleu-blanc-rouge !
S’attaquant au discours xénophobe, à la corruption publique
mais également à la prolongation de l’Etat d’urgence, Kery s’en prend à
la face sombre du pays des droits de l’homme. Semblant tirer le bilan
de sa collaboration avec l’industrie musicale, Kery le sage, entend
continuer à faire entendre sa voix contestataire en artiste indépendant.
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Le 14 juillet 1953, une manifestation anticoloniale - appelée par le MTLD (Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques) fondé par Messali Hadj, la CGT et le PCF - était réprimée dans le sang. 6 jeunes ouvriers algériens et un métallurgiste français, syndicaliste CGT, furent tués par balles, pour avoir revendiqué la fin du colonialisme et l'indépendance de l'Algérie.
Dans ce texte, extrait de son livre La police parisienne et les Algériens (Nouveau Monde Editions, 2011)1, Emmanuel Blanchard 2revient sur ce massacre occulté et nous permet non seulement d'honorer la mémoire de ceux et celles qui, au péril de leur vie, combattirent le colonialisme et ses horreurs, mais aussi de souligner la continuité entre la violence de la répression coloniale et la harcèlement policier dont sont l'objet les descendant·e·s de colonisé·e·s aujourd'hui - y compris sous la forme de crimes presque toujours impunis. Cliquer ici
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NPA 34, NPA
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14 juillet, ce fut/c'est cela aussi...
Le 14 juillet 1953, une manifestation anticoloniale - appelée par le MTLD (Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques) fondé par Messali Hadj, la CGT et le PCF - était réprimée dans le sang. 6 jeunes ouvriers algériens et un métallurgiste français, syndicaliste CGT, furent tués par balles, pour avoir revendiqué la fin du colonialisme et l'indépendance de l'Algérie.
Dans ce texte, extrait de son livre La police parisienne et les Algériens (Nouveau Monde Editions, 2011)1, Emmanuel Blanchard 2revient sur ce massacre occulté et nous permet non seulement d'honorer la mémoire de ceux et celles qui, au péril de leur vie, combattirent le colonialisme et ses horreurs, mais aussi de souligner la continuité entre la violence de la répression coloniale et la harcèlement policier dont sont l'objet les descendant·e·s de colonisé·e·s aujourd'hui - y compris sous la forme de crimes presque toujours impunis. Cliquer ici
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