Danger. Cagoulé-es, en tenue civile noire, ils/elles prennent la rue...les flics de la "République" ! (vidéo)
 Mais que fait la police ? 
21 octobre : Liberté de manifester : Solidaires adresse un courrier aux ministres de l’intérieur et de la justice (Cliquer ici)
 Hollande, Valls, Cazeneuve  leur ont ouvert les vannes de l'ultra-violence antipopulaire, ils/elles en veulent toujours plus !
A lire 
« La police assassine, la justice acquitte. »
« Depuis la mise en place de l’état 
d’urgence, deux non-lieux ont déjà été prononcés dans les affaires 
d’Amadou Koumé (mort par étranglement le 6 mars 2015 dans un fourgon de 
police à Paris 10ème), et d’Hocine Bouras (mort d’une balle dans la tête
 alors qu’il était menotté dans un fourgon de police le 26 août 2014 à 
Colmar). Après 6 ans de procédures judiciaires, la Cour de Cassation 
vient aussi de prononcer un non-lieu définitif dans l’affaire Ali Ziri 
(mort suite à son interpellation le 11 juin 2009 à Argenteuil). Police 
partout, justice nulle part. Le 15 janvier 2016, Damien Saboundjian, le 
policier qui a tué d’une balle dans le dos Amine Bentounsi est relaxé. 
Dans la continuité de sa politique répressive, ce verdict appuie la 
volonté du gouvernement de légaliser le permis de tuer pour les 
policiers. A défaut de créer la présomption de légitime défense, 
historiquement réclamée par l’extrême-droite et les syndicats de police,
 le projet de loi dit de simplification de la procédure pénale introduit
 l’« état de nécessité », qui autorise un policier à tirer sur une 
personne présumée dangereuse même s’il n’est pas directement menacé. Ce 
projet renforce les pouvoirs de police au détriment de la justice, et 
pendant l’Etat d’urgence le port d’arme en dehors du service est même 
autorisé pour les policiers. » Cliquer ici 
En logique contraire des revendications des flics
La Chancellerie elle-même relevait en 2014 qu’« à partir d’échantillons comparables, le taux de recondamnation est toujours supérieur lorsqu’une personne est incarcérée »,
 surtout si elle n’a bénéficié d’aucun aménagement de peine. 63 % des 
personnes sortant de prison sans aménagement sont recondamnées dans les 
cinq ans. Le taux tombe à 55 % en cas d’aménagement, 45 % en cas de prononcé d’une peine alternative à la prison. Pourquoi, alors, ne pas privilégier ces mesures, si ce n’est pour des raisons de populisme pénal ?  Cliquer ici
Nos dossiers Gouvernement,
Police,
Sécurité/Sécuritaire, Capitalisme, quartiers populaires, droits démocratiques
































