... ou comment tenter de"casser" un camarade pour exorciser le retour de flamme d'un (plus) méchant mouvement de masse contre leur monde !
Libre. Comme la
dernière fois, j’ai été arrêté arbitrairement dans la rue et placé
quarante-deux heures en garde à vue au commissariat de Montpellier. Comme la
dernière fois, la justice m’accuse d’avoir insulté un policier (le 15
septembre et le 26 octobre). Comme la dernière fois il n’y a aucune preuve dans
le dossier, sinon la « bonne foi » des policiers. Mais cette fois-ci,
je ne passe pas en comparution immédiate.
Le procès c’est le 30
mars et d’ici là je suis sous contrôle judiciaire : je dois pointer deux
fois par semaine au commissariat et je suis interdit de rentrer en contact avec
les deux policiers qui m’accusent de les avoir insultés. Mais je ne sais pas
qui sont ces policiers (la juge des libertés et de la détention m’a donné le
droit de pouvoir bientôt obtenir des photos d’eux). Peut-être font-ils partie
des policiers qui me menacent et me harcèlent régulièrement dans la
rue ?
Solidarité totale avec Jules et l'ensemble des réprimé-es
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Et aussi
Je me suis retrouvé en garde à vue au commissariat du 15e, accusé de
violences par arme (« jet de projectiles ») sur personne dépositaire de
l’autorité publique. C’est un truc grave – que je nie complètement – je
risque cinq ans ferme et 75 000 euros d’amende.
Et encore
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