Côté cour vs côté ... garage. Ces paillettes sauréliennes qui occultent la misère des gens...
"Montpellier, Ville européenne de l'année 2017"
"Figure de proue en matière d'innovation urbanistique au service des citoyens, Montpellier a une nouvelle fois prouvé qu'elle fait partie des grandes capitales européennes" (Urbanisme : Montpellier primée à Londres, Le Mag, Le Magazine d'Information de la Métropole), n°22, décembre 2016)
La mère de famille, expulsée de son logement cet été, désespère de sa situation.
Un long couloir de béton, sombre, humide, froid au cœur de La Paillade. Les flèches bleues du tramway passent, repassent, à quelques dizaines de mètres. Une porte blanche qui s'ouvre sur un garage étroit. "C'est chez moi depuis septembre, soupire Samia (*). Avant, je dormais dans une voiture qu'on me prêtait."
Une descente dans les bas-fonds pour cette mère de famille d'origine algérienne de 48 ans, qui aura longtemps élevé ses trois enfants dans son appartement ACM. Une vie simple mais tranquille. Jusqu'à cette veille de Noël 2004. "Mon mari décède dans un accident de voiture." Cliquer ici
Com' toi-même...
Exclusivité
Saurel déclare au correspondant du NPA 34 "Il n'y a pas de raison que Samia ne reçoive pas Le Mag"...
Revendication de sénilité politique autoritaire et toute imbue d'esbroufe clinquante et insensible aux drames sociaux : « Cela couronne le travail effectué depuis Georges Frêche dans la ville de Montpellier » (Philippe Saurel)
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En novembre 2014 - Montpellier. Luttopia : sans surprise un tribunal totalement à l'écoute de la flic ayant mené une opération violente...
En janvier 2015 - Logement. Montpellier ville d'expulsion...
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En novembre 2014 - Montpellier. Luttopia : sans surprise un tribunal totalement à l'écoute de la flic ayant mené une opération violente...
En janvier 2015 - Logement. Montpellier ville d'expulsion...
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Quand la justice choisit de ne pas choisir. Ou décide de ne pas décider.
Dans une ordonnance en date du 9 août dernier, le tribunal de grande
instance de Montpellier, saisi en référé par la famille Aubert,
propriétaire de l'ancien cinéma Le Royal, n'a pas voulu prononcer
l'expulsion à l'encontre de la trentaine de personnes qui s'y est
installée illégalement depuis le mois de juin dernier. Tout en
reconnaissant le droit de propriété à la famille Aubert, l'occupation
illicite sans droit ni titre, le magistrat du TGI a mis dans la balance
le droit au logement. Pour, au final, ne pas décider de l'expulsion des
squatteurs, parmi lesquels figurent des femmes et des enfants. Cliquer ici
Cet esprit festif et offensif [de la lutte contre la loi "travail"] se retrouve bien dans Le Royal occupé.
Cet ancien cinéma a été investi par des habitants qui désirent faire
revivre ce lieu. Ils ont réussi à en faire un espace de créativité et
de lutte. Ce squat abrite évidemment des réunions politiques et des
assemblées de lutte. Mais ce sont aussi des soirées festives et
artistiques. Ce sont souvent plusieurs centaines de personnes qui se
croisent dans les soirées du Royal occupé. En dehors des carcans de la
culture marchande et subventionnée s'ouvre un nouvel espace de
créativité. Cliquer ici
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Selon le vingtième rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre sur l'état du mal-logement en France (2015)...
À Montpellier, où seul un logement est proposé pour 6 demandes, la pression sur le logement social se traduit par des délais d’attente particulièrement importants : 10 % des demandeurs sont en attente de logement depuis plus de 3 ans.
Il y avait en 2015 2.800 «sans-domicile stable» sur la ville.
Voir le lien ci-dessous vers le rapport complet
Sur le Languedoc-Roussillon
Selon le vingtième rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre sur l'état du mal-logement en France (2015)...
À Montpellier, où seul un logement est proposé pour 6 demandes, la pression sur le logement social se traduit par des délais d’attente particulièrement importants : 10 % des demandeurs sont en attente de logement depuis plus de 3 ans.
Il y avait en 2015 2.800 «sans-domicile stable» sur la ville.
Voir le lien ci-dessous vers le rapport complet
Sur le Languedoc-Roussillon
Hé Ho ! Carole Delga (PS) et allié-es à la Région d'EELV, du PCF, du PG, d'Ensemble ! ... ça urge !
Midi Libre, 17 février 2016.
Il manque encore et toujours de logements sociaux en Languedoc-Roussillon. Les rapports annuels de l'état du mal-logement en région, réalisé par la Fondation Abbé-Pierre,
se suivent - et malheureusement ! - se ressemblent. Ainsi, en 2014,
plus de 13 000 demandes d'hébergement d'urgence ont été transmises au
Samu social. "Et pour ces demandes, il y a eu 72 % de non-réponse,
constate Frédérique Mozer, la directrice régionale de la Fondation
Abbé-Pierre. Le pire, c'est qu'en 2015, on enregistre encore plus de
demandes !
Une précarité énergétique liée la plupart du temps à une précarité économique.
Près d’un quart des logements du Languedoc-Roussillon proposent des niveaux de loyers supérieurs à 6€/m2, soit des niveaux supérieurs aux capacités financières d’une large partie des ménages demandeurs. Et la tendance est à la hausse : les HLM neufs mis en service en 2012 affichent des loyers moyens supérieurs (6,5€/m2) à ceux du parc existant (5,71€/m2).
[…]
Municipales de mars 2014 : le logement au coeur de la campagne du NPA 34
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