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Il est impératif que le seul candidat ouvrier à la présidentielle soit présent lors de l’échéance présidentielle !


 Ce sera rude, mais il est encore possible de renverser la situation et d’assurer la présence de Philippe Poutou à l’élection présidentielle...


Voilà quelques mois, le NPA s’est lancé dans la collecte des fameux 500 « parrainages » pour pouvoir participer à l’élection présidentielle. 

Cette obligation légale n’a pour but que d’empêcher l’expression politique des petits candidats et a été durcie par le gouvernement PS. En effet, tous les élus qui signent pour les candidats verront dorénavant leur nom publié au Journal officiel. Et contrairement aux autres années, nous ne pourrons pas collecter les formulaires officiels auprès des maires, mais ce sera à eux les envoyer directement au Conseil constitutionnel, avec tous les risques d’erreurs que cela comporte (oubli du tampon officiel de la mairie, faute dans le nom du candidat...), invalidant ainsi un certain nombre de formulaires de parrainage.

Comme si ces mesures anti-­démocratiques mises en place par l’État ne suffisaient pas à nous bâillonner, l’ensemble de la presse nous boycotte : depuis plus d’un mois, Philippe n’a été invité à participer à aucune émission politique à l’audimat un peu musclé, tant en radio qu’en télé. Alors que par exemple, les médias invitent sans compter un guignol à l’ego démesuré comme Alexandre Jardin, lui qui ne représente que sa petite boutique : une devanture de personnalité « hors-parti », mais à l’arrière-boutique bien sociale-libérale... Cliquer ici

POUR SIGNER LA PÉTITION, CLIQUEZ ICI

Pour participer à notre collecte des signatures, pour nous mettre en contact avec des élu-es pouvant nous accorder leur signature : npa@npa34.org

 

C’est donc parti pour une nouvelle année qui a inévitablement débuté par les traditionnels « vœux » du président. Du baratin, des grands mots, de fausses grandes idées, des banalités... Juste de quoi nous enfumer pour nous anesthésier, encore et encore... 

La situation est plus difficile, voire catastrophique, pour une majorité de la population : il y a plus de chômage, de précarité, de pauvreté pour des millions de personnes, plus de violence sociale, plus de répression, plus de brutalité policière... et toujours moins de services publics, moins de libertés publiques. Mais pour le gouvernement, sa politique va dans le bon sens : avec un peu de patience, on sortirait même du tunnel de la crise ! […]

Porter largement une perspective de rupture anticapitaliste 

Pour nous, l’espoir est bien là pour cette nouvelle année. C’est d’ailleurs tout le sens de notre campagne ces prochaines semaines dans le cadre de l’élection présidentielle : défendre une perspective de rupture anti­capitaliste. Une perspective non pas électorale, mais pour les résistances, pour les luttes de notre camp, pour le progrès social, pour changer nos vies : cela passe par interdire les licenciements, réduire massivement le temps de travail, socialiser les banques, développer les services publics de l’énergie et des transports, arrêter le nucléaire…

Nous défendrons l’idée qu’une autre société est possible, et que pour cela, il faut se représenter soi-même, prendre nos affaires en main, faire de la politique nous-mêmes pour une vraie démocratie. Cela passe ici par l’égalité des droits entre toutes et tous, ainsi que par l’ouverture des frontières et la liberté de circulation, pour une solidarité internationale entre les travailleurEs et les peuples.
Tout un programme, le nôtre. Le défendre, le porter largement, c’est tout ce que nous nous souhaitons, collectivement, pour cette nouvelle année. 

Philippe Poutou 

Texte intégral en cliquant ici



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 Extrait...

Le renforcement des tendances autoritaires et répressives a été particulièrement significatif ces dernières années en France. A l’origine de ce phénomène général, international, se trouve la difficulté croissante des dominants à obtenir le consentement actif des populations.
Nous assistons en France à une accélération autoritaire dont les symptômes les plus apparents tiennent dans l’intensification du quadrillage sécuritaire des quartiers populaires, la montée du nationalisme et du racisme, ainsi que l’accroissement de la répression des mobilisations sociales (très visible au printemps dernier).
Si ces tendances autoritaires sont généralement expliquées soit par des facteurs purement conjoncturels soit par la violence intrinsèque au régime capitaliste, elles renvoient pourtant à une caractéristique centrale de la période dans laquelle nous vivons et luttons : le capitalisme, du fait des contradictions inhérentes à la configuration néolibérale qui s’est imposée à partir des années 1970, est entrée dans une crise d’hégémonie. Cliquer ici

Le NPA, un parti dans les luttes, pour les luttes, au service des mobilisations...pour un autre monde !





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