A lire ci-dessous.
Entre 2000 et 3000 personnes pour une A.G.
sur la pelouse de Paul Valéry.
sur la pelouse de Paul Valéry.
Voir en fin d'article la réponse de l'intersyndicale à un article du Figaro
Après un point d'information sur la lois Vidal et ORE, il y a eu des points infos sur la situation nationale et locale.
Avec interventions de profs qui lancent les cours autogérés, interventions de collégiens pour dénoncer la sélection , et des interventions plus générales qui dénonçaient l'aberration de ces lois et la situation qui se dégrade dans les universités.
Et puis bien sûr le débat sur le blocage. On a eu droit aux arguments habituels ("...la liberté d'étudier et la perte de savoir qu'engendre le blocage...").
Finalement,
LE BLOCAGE ILLIMITÉ A ÉTÉ VOTÉ !
L'AG a voté également pour faire de la journée du 3 avril une journée forte de la mobilisation, une nouvelle étape vers la convergence des luttes.
À la suite de l'AG c'est entre 800 et 1200 étudiants qui se sont formés en cortège de l'UM3 au commissariat central pour faire pression pour que les plaintes (fac de droit) soient prises en compte, car jusque là le procureur refusait de recevoir les plaintes.
Correspondant NPA34
Pendant ce temps,
devant l'hôtel de police...
Accompagnés de la LDH, de syndicalistes, et d'une cinquantaine de personnes solidaires, une dizaine de témoins directs des violences de la nuit de jeudi à vendredi se sont présentés au commissariat pour faire enregistrer leurs témoignages.
Si les plaintes des victimes ont bien été déposées, les témoins n'ont toujours pas été auditionnés. L'enquête risque de s'éterniser, une façon de faire passer "l'affaire " aux oubliettes.
Déjà la qualification par le parquet des agressions des étudiant(e)s par les cagoulés, de violence en réunion et non d'attaque en bande organisée a pour objectif de renvoyer dos à dos les victimes et les agresseurs.
"Faute de disponibilité", seuls deux ou trois témoignages ont été enregistrés. Les autres témoins seront convoqués sous quinzaine !
Rassemblement ce mercredi soir à 17h devant la préfecture et conférence de presse de la LDH et des syndicalistes qui feront le point sur l'évolution de l'enquête.
Si les plaintes des victimes ont bien été déposées, les témoins n'ont toujours pas été auditionnés. L'enquête risque de s'éterniser, une façon de faire passer "l'affaire " aux oubliettes.
Déjà la qualification par le parquet des agressions des étudiant(e)s par les cagoulés, de violence en réunion et non d'attaque en bande organisée a pour objectif de renvoyer dos à dos les victimes et les agresseurs.
"Faute de disponibilité", seuls deux ou trois témoignages ont été enregistrés. Les autres témoins seront convoqués sous quinzaine !
Rassemblement ce mercredi soir à 17h devant la préfecture et conférence de presse de la LDH et des syndicalistes qui feront le point sur l'évolution de l'enquête.
Geneviève correspondante NPA34
Violences à la faculté de Montpellier
Le doyen et un professeur ont été auditionnés en garde à vue
Libération. Après
l’évacuation manu militari, dans la nuit du Jeudi 22 Mars au Vendredi
23 Mars 2018, d’un amphithéâtre de la faculté de droit de Montpellier,
le doyen, qui avait déjà démissionné pendant le week-end, a été placé en
garde à vue, ainsi qu’un professeur, que plusieurs témoins accusent de
violences. Cliquer ici ou ici
La Marseillaise (28 mars 2018) - En dépit du
nombre - près de 3000 étudiants -, l’assemblée générale hier à
Paul-Valéry, s’est déroulée dans le plus grand calme et respect de la
parole de chacun. 2- Chloé, témoin de l’intrusion violente dans un amphi
de la fac de droit du 22 au 23 mars, a déclaré, émue : « Je n’avais
jamais connu une violence aussi extrême. Je croyais vraiment mourir. »
3- Protestant contre la lenteur de l’enquête judiciaire sur les faits
d’agression à la fac de droit, Me Mazas (LDH) a accompagné hier une
dizaine de témoins à l’Hôtel de Police.
Réunis en AG mardi à l'Université Paul-Valéry de
Montpellier, plus de 3000 étudiants ont voté pour la grève illimitée.
Débuté mi-février en Lettres, le mouvement, qui revendique l’abrogation
de la loi Vidal et le retrait de la réforme du Bac, gagne du terrain.
[A noter : Protestant contre la lenteur de l’enquête judiciaire sur les faits
d’agression à la fac de droit, Me Mazas (LDH) a accompagné hier une
dizaine de témoins à l’Hôtel de Police.] Cliquer ici
Autres articles sur notre site :- 22 mars à Montpellier. Première étape réussie !
- Montpellier Attaque facho à la fac de droit
- Fachos hors des facs !
- Montpellier Vigilant-es contre le racisme et le fascisme
- Montpellier. Fac de Droit: témoignages.
Droit de réponse de l'Intersyndicale