28 mars
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Le Parlement refuse de condamner "les violences" indépendantistes de la veille !
Le PP échoue dans sa tentative de faire condamner par le Parlament catalan les "violences" de la veille qu'auraient provoquées les CDR !
Hier à Montpellier
LA MARSEILLAISE
Précision sur cet article de La Marseillaise : une coquille malencontreuse met dans la bouche de notre secrétaire que "Tout le Parlement catalan est en prison à l'exception des quatre exilés". Il faut bien entendu lire "Tout le Gouvernement catalan...".
Sur le rassemblement...
27 mars
"Les opinions et les convictions, on les discute, on ne les met pas en prison"
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Le Parlement refuse de condamner "les violences" indépendantistes de la veille !
Le PP échoue dans sa tentative de faire condamner par le Parlament catalan les "violences" de la veille qu'auraient provoquées les CDR !
Seuls ont voté "pour" les membres du gang violent du 155 : PP, Ciudadanos et le PSC ! Cliquer ici
Hier à Montpellier
LA MARSEILLAISE
Précision sur cet article de La Marseillaise : une coquille malencontreuse met dans la bouche de notre secrétaire que "Tout le Parlement catalan est en prison à l'exception des quatre exilés". Il faut bien entendu lire "Tout le Gouvernement catalan...".
Sur le rassemblement...
Il fallait le faire, vu la gravité des évènements en Catalogne sud, nous l'avons fait : nous nous sommes rassemblé-es symboliquement devant la représentation locale de l'Etat espagnol pour demander la libération de Puigdemont et de tous les prisonniers politiques. Mais soyons clairs nous sommes en dessous du minimum nécessaire pour répondre au niveau de solidarité qu'exige la situation. Certes la jeunesse qui a été de nos précédentes manifestations était très prise par la mobilisation sur les facs (3000 à l'AG du matin à Paul Valéry, rassemblement dans l'après midi devant le commissariat de la ville). Mais cela n'explique pas tout. Nous continuons cependant notre mobilisation à travers la diffusion des pétitions en direction de la population, des syndicats, associations et partis mais aussi des élu-es d'Occitanie. Mais nous envisageons aussi d'autres initiatives dont nous vous entretiendrons en temps voulu.
Rejoignez le Collectif Montpelliérain de Solidarité avec le Peuple Catalan (CMSPC), demandez à recevoir nos communications via la messagerie FB (https://www.facebook.com/solidaritecatalogne/) ...
Le dessin du jour
(Le Temps, New York Times)
Puigdemont devant les juges allemands
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La rue maintient la pression...
La rue maintient la pression...
A "point de non retour" politique, plan de circulation routière perturbé à l'appel des CDR : liberté pour les prisonniers politiques !
Voie coupée pendant 7 heures au niveau de Lérida
Devant la gare de Sants, la principale de Barcelone
Sants : avec les urnes du référendum du 1er octobre
Liberté maintenant pour les prisonniers politiques !
La République maintenant !
L'autonomisme, c'est fini
Construisons la République !
Barrage et intervention policière sur l'autoroute A2 au niveau de Soses, dans les deux sens
Sur les Terres de l'Ebre : nationale N-340 entre Camarles et l'Ampolla
Les CDR déclarent que la journée de mobilisation est finie mais que le "Printemps catalan" va continuer !
Reportage photo à partir de El Nacional
Deuxième dessin du jour
Le nationalisme espagnol au-dessus des principes universels
A l'espagnole
Les trois de gauche sont la bande du 155 : Albert Rivera (Ciudadanos), Pedro Sánchez (PSOE) et Mariano Rajoy (PP). Rajoy parle pour le trio et réplique au personnage de droite : Eh, eh ! On dit liberté à l'espagnole, justice à l'espagnole, transparence à l'espagnole et démocratie à l'espagnole ! C'est compris ?
Le petit mais audacieux manifestant à droite porte une pancarte aux notions élémentaires et transnationales, autrement dit universelles : Liberté, Justice, Transparence, Démocratie.
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26 mars
Montpellier. Solidarité Catalogne, mobilisation !
Liberté pour Carles Puigdemont et tous les prisonniers politiques !
Voie coupée pendant 7 heures au niveau de Lérida
Devant la gare de Sants, la principale de Barcelone
Sants : avec les urnes du référendum du 1er octobre
Liberté maintenant pour les prisonniers politiques !
La République maintenant !
L'autonomisme, c'est fini
Construisons la République !
Barrage et intervention policière sur l'autoroute A2 au niveau de Soses, dans les deux sens
Sur les Terres de l'Ebre : nationale N-340 entre Camarles et l'Ampolla
Les CDR déclarent que la journée de mobilisation est finie mais que le "Printemps catalan" va continuer !
Reportage photo à partir de El Nacional
L’arrestation et l’incarcération en Allemagne de Carles Puigdemont, dimanche, continuent de provoquer
de vives tension en Catalogne. Des militants indépendantistes ont
bloqué deux routes de la région espagnole, mardi 27 mars au matin, pour protester contre la détention de l’ancien président régional, mais aussi contre l’incarcération en Espagne de plusieurs autres leaders indépendantistes.
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Deuxième dessin du jour
Le nationalisme espagnol au-dessus des principes universels
A l'espagnole
Les trois de gauche sont la bande du 155 : Albert Rivera (Ciudadanos), Pedro Sánchez (PSOE) et Mariano Rajoy (PP). Rajoy parle pour le trio et réplique au personnage de droite : Eh, eh ! On dit liberté à l'espagnole, justice à l'espagnole, transparence à l'espagnole et démocratie à l'espagnole ! C'est compris ?
Le petit mais audacieux manifestant à droite porte une pancarte aux notions élémentaires et transnationales, autrement dit universelles : Liberté, Justice, Transparence, Démocratie.
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26 mars
Montpellier. Solidarité Catalogne, mobilisation !
Liberté pour Carles Puigdemont et tous les prisonniers politiques !
Rassemblement mardi 27 mars à 18h30
devant le Consulat d'Espagne de
Montpellier (24 rue Marceau, croisement cours Gambetta)
à l'appel du
Collectif Montpelliérain de Solidarité avec le Peuple Catalan (CMSPC).
Nous appelons la population montpelliéraine à venir manifester sa solidarité avec les démocrates espagnols et catalans qui refusent la destitution des institutions représentatives de la Catalogne (Présidence, Gouvernement, Parlement), la persécution politique et judiciaire dont font l’objet les élu-es à ces instances ainsi que le non-respect des choix électoraux du 21 décembre dernier et la criminalisation de toute opposition pacifique au gouvernement espagnol.
Nous exigeons avec force la libération immédiate de Carles Puigdemont et de tous les emprisonnés politiques, la levée de tous les chefs d’accusation lancés à leur encontre, la possibilité pour tous les exilé-es de revenir au pays y jouir des libertés inhérentes à la démocratie, la fin de l’application d’un article constitutionnel, le 155, détourné de son objet, et ainsi le retour à l’inviolabilité des instances politiques catalanes et enfin la mise en place de négociations entre les parties en conflit.
Le dessin du jour
L'acte d'accusation
La voix derrière la porte : Désolé mais le juge Llarena est en train de rédiger un acte d'accusation et il ne peut vous recevoir maintenant.
Devant le miroir, un pied sur le recueil de la Déclaration des Droits Humaine et le chef couvert du bicorne de la Garde Civile, le juge se contemple narcissiquement dans la pose impériale de Napoléon. Tout compte fait le bicorne est aussi connoté bonapartiste... Ce juge, prototypique de l'empire qu'a acquis la Justice espagnole sur le cours des choses et la vie des gens, est saisi ici dans la fusion des pouvoirs politiques et judiciaires (et policiers) qui caractérise l'instant adémocratique espagnol et le drame catalan.
Selon son habitude et ses codes graphiques et politiques, c'est le dessinateur qui, en réalité, dresse un acte d'accusation contre l'ineptie vaniteuse et nombriliste de ce juge qui est le socle d'un coup de force antidémocratique dans l'Etat espagnol. Ce n'est pas nouveau : médiocrité psychologique et arbitraire politique vont souvent de pair...
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Un
vice-président du parlement fédéral allemand, Wolfgang Kubicki, a exclu
l’extradition de Carles Puigdemont pour rébellion. « En Allemagne, nous
ne connaissons pas le délit de rébellion, contrairement à l'Espagne », a
déclaré le leader libéral et avocat expérimenté dans des déclarations
au réseau des journaux régionaux allemands Redaktions Netzwerk
Deutschland. « Par conséquent, je rejette l'extradition aux autorités
espagnoles pour cette raison », a-t-il dit. Cliquer ici
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