À Béziers, le club de rugby, racheté par la commune en 2021, n'échappe pas au culte de la virilité bien répandu dans le milieu du sport professionnel. Deux joueurs sont accusés de violences conjugales (dont un en récidive) et un troisième d'avoir d'avoir jeté un verre au visage d'une serveuse et lui avoir craché dessus lors d'une soirée.
Le club a bien été obligé de suspendre les 2 joueurs, même si le président (Hervé Billaud) déclarait "Lavons notre linge sale en famille". Quant au maire de Béziers (Robert Ménard), il ne voit là que "gamineries"...
Il faut dire que la municipalité de Ménard, avec ses références constantes à l'idéologie la plus réactionnaire, sinon fasciste, ne risque pas d'être à la pointe de la lutte contre les violences faites aux femmes ! (voir ci-dessous un florilège de l'image des femmes que véhicule la propagande municipale).
Nous ne pouvons que reprendre ce que clament les Rosies de Béziers :
STOP AU CULTE DE LA VIRILITÉ, STOP AU PATRIARCAT, STOP AUX VIOLENCES SEXISTES ET SEXUELLES.
LA HONTE DOIT CHANGER DE CAMP !
Voici le communiqué des Rosies de Béziers 
